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  • 28 janvier 2013

    Et en plus il est drôle...

    Nouveau week-end passé avec mon argentin à nous faire des bisous et à découvrir la ville. Cette fois-ci nous  nous sommes rendus dans le quartier chinois, dans Belgrano. En fait de quartier il s'agit plutôt d'une grande rue, bordée de boutiques. Les unes sont remplies de choses que l'on ne peut s'empêcher d'acheter, dont cette fabuleuse lampe-cochon, les autres se proposent de faire réduire la taille de vos jeans avec une variété infinie de bouffe en tout genre, de la brochette de chair de poisson fri (délicieux), aux boulettes de patates pannées, en passant par des travers de porc caramélisés.

    Aujourd'hui, il m'a fait découvrir San Isidro, charmante ville un poil cossue au Nord de Buenos Aires, ses maisons d'époque, sa jolie cathédrale néo-gothique. Il faisait bon, un petit air frais coupait le mordant du soleil, le ciel était bleu, un jour parfait.

    Oui, ce fut un week-end simple, sans complication. Juste être ensemble et faire ensemble des choses que l'on aime : manger, se balader en ville, faire les magasins, dire des bêtises, regarder des films gores, aller au cinéma, se réveiller dans les bras l'un de l'autre... Il n'y a aucun enjeu, aucune obligation de résultat, aucun but, sinon d'être ensemble et de profiter du moment présent en ayant conscience que le temps perdu ne se rattrape plus. Une relation spontanée, franche, mais bornée par cet irréversible compte à rebours qui coupera net une jolie petite histoire naissante. 

    En trois semaines, c'est le second week-end que nous passons totalement ensemble. Et à chaque fois le temps semble ne plus avoir d'emprise. Et dire que j'hésitais à le rencontrer !

    Ce soir je suis allé faire un tour sur son compte Instagram après qu'il m'a demandé d'accéder au mien. Ses photos n'ont en soi rien d'extraordinaire, sauf bien entendu celles sur lesquelles on voit son joli minois. Mais ses commentaires sont souvent très drôles. Un humour fin et décalé comme je l'aime, celui-là même qui transparaît déjà dans ses grands yeux un peu fous. Celui-là même qui fait que nous sommes pour pas mal de choses sur la même longueur d'ondes.

    Oui, malgré moi je deviens totalement accro à ce garçon. Même si j'essaie de me protéger, il est des choses qui ne se contrôlent pas. Le retour en mars risque vraiment d'être cruel.

    Tu le sens monter le coup de cafard ? Tu le sens ?

    15 commentairess:

    1. Je veux la lampe cochon !!! (et avant le cafard, profite donc de ton état de grâce ou je te botte les fesses, homme ;-))

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    2. Emmène-le dans tes bagages. :)
      Des vacances en France, ça ne se refuse pas, non ? :)

      C'est pour tout ce que tu décris que j'ai quitté tout ce que j'avais à Montréal pour suivre mon amoureux aux yeux verts. :)

      En attendant, profite, profite !

      Besos

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    3. Tu n'es pas drôle à anticiper le coup de cafard. PROFITE !

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    4. Je vais dire comme Olivier, ce n'est pas tous les jours qu'on a la chance de rencontrer quelqu'un avec lequel il peut y avoir une vraie alchimie et tu as sans doute bien mérité d'en profiter encore bien plus, alors pourquoi ne pas rester ou l'emmener :) ?

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    5. J'ai tout lu, mais ça reste quand même la 1ère ligne que je préfère...
      Enjoy !

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    6. Heureux pour toi de cette idylle naissante. C'est mimi. J'ai souri tout au long de ta note. Et pourquoi tu ne pourrais pas prolonger un tout petit peu ton séjour? Profite bien de ton argentin mignon et un peu fou;-)

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    7. Profite et sois bien malheureux, tu n'en mesureras que plus ce que tu as ressenti. :)))
      (Et après tu déménages là-bas !! ^^)

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    8. Comme tu le supposes peut-être, je pense qu'il n'y a qu'une chose à faire en la matière : carpe diem en effet considérant que tout ce qui est pris n'est plus à prendre.
      S'il fallait s'arrêter devant l'impossibilité de résoudre une telle équation qui parait (effectivement) insoluble, plus rien ne serait envisageable ni même à espérer. Or c'est bien tout le contraire qu'il faut faire (comme tu ne l'ignores pas).

      Mars arrivera bien assez tôt pour cela. Mars sera synonyme de départ (tu sais que tu as là un titre de billet absolument fantastique "Mars et je repars") mais mars sera aussi synonyme d'une nouvelle étape, une nouvelle page. Toi qui avait l'impression d'un sur-place, tu démontres chaque jour depuis que tu es parti si loin que non : une telle impression ne peut davantage prospérer.

      En cette matière comme en d'autres, ce qui compte c'est le mouvement et je sais bien que tu es capable de beaux mouvements de nature à te réaliser (j'aime beaucoup cette expression qui est riche de sens). Moi, en tout cas, je serai là et avec Zolimari on te fait de gros bisous avec le secret espoir de te revoir très bientôt !!!

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    9. "Et en plus il est drôle..."
      Rien ne te sera épargné... ^^
      Ce serait dommage que la pensée du mois de mars te gâche les jolis moments à venir.
      Alors comme tout le monde je te dis Carpe Diem.

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    10. Pour le moment pense pas à mars, nous sommes encore en janvier donc un seul mot : PROFITE

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    11. Comme je l'imagine il sourit d'un rien
      Comme je l'imagine il pense bien
      Comme je l'imagine il pourrait même
      Etre celui qui sera l'homme que j'aime

      Comme je l'imagine et comme toujours
      Il va près des gens qui aiment l'amour
      Comme je l'imagine il pourrait même
      Etre celui qui sera l'homme que j'aime

      Comme je l'imagine il aime l'aurore
      Les matins d'hiver et la brume qui dort
      Les nuages rouges quand l'aube se lève
      Et vient le moment où finit mon rêve

      Où est-il ?
      Peut-être dans le sud
      Dans les villes où le soleil vous brûle
      Et je regarde vers le nord
      Et je regarde vers le sud
      Et tout disparaît avec mes certitudes

      Comme je l'imagine il sourit d'un rien
      Comme je l'imagine il pense bien
      Comme je l'imagine il pourrait même
      Etre celui qui sera l'homme que j'aime

      Comme je l'imagine il vient de loin
      Comme je l'imagine c'est un musicien
      Comme je l'imagine il pourrait même
      Etre celui qui sera l'homme que j'aime

      Comme je l'imagine s'il est malheureux
      Il sait qu'il se sent devenir vieux
      Mais je sens le vent qui se soulève
      Souffle dans la nuit emporte mon rêve

      Comme je l'imagine il sourit d'un rien
      Son destin va croiser mon chemin
      Comme je l'imagine il pourrait même
      Etre celui qui sera l'homme que j'aime

      Comme je l'imagine il aime l'aurore
      Les matins d'hiver et la brume qui dort
      Mais je sens le vent qui se soulève
      Emporte la nuit, emporte mes rêves

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    12. Dur de te suivre lol!! Vivement de prochaines retrouvailles! En France, je précise lol!! Profite à fond de ce voyage, de ce compagnon, on ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve. ça commence par un week-end et ça peut durer... avancer... peut nuire à la santé lol!

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