Rien n'y fait, le besoin d'écrire est toujours là, lancinant, qui me nargue.
Un besoin d'écrire qui n'est pas foncièrement différent de celui qui m'anime depuis 7 ans déjà et dont j'étais encore voici seulement quelques jours, convaincu d'avoir fait le tour. Grave erreur de ma part.
Pour autant, je ne pouvais plus continuer là bas. Les motifs qui m'avaient conduits à ouvrir mon premier carnet, les questions qui me taraudaient encore naguère sont à présent résolues. D'autres se présentent, nimbées d'une lumière différente.
Il sera donc question d'autres choses, pas si éloignées de ce dont j'avais coutume de traiter. Car si le blog change, celui qui en tient les brides n'a pas changé, lui.
Pour autant, je ne pouvais plus continuer là bas. Les motifs qui m'avaient conduits à ouvrir mon premier carnet, les questions qui me taraudaient encore naguère sont à présent résolues. D'autres se présentent, nimbées d'une lumière différente.
Il sera donc question d'autres choses, pas si éloignées de ce dont j'avais coutume de traiter. Car si le blog change, celui qui en tient les brides n'a pas changé, lui.
Ce nouveau carnet s'inscrit donc non pas en une véritable rupture mais en continuité du précédent. Un besoin d'écrire renouvelé par toute une série d'événements sur lesquels j'ai publié de nombreux billets mais qui donnent une couleur différente à mon quotidien.
Aujourd'hui, vivifié par une soif de vivre plus tressaillante que jamais, porté qui plus est par des projets un peu fous, de nouveaux horizons se sont ouverts devant moi. À mes pieds se déploie un océan de possibles.
Voilà où j'en suis, voilà le point de départ de ce radeau qui me portera au fil des jours au gré des vents et des courants.
Une page se tourne, un autre s'ouvre.
Hissez les voiles moussaillons !
Bienvenue dans mes Traversées Aléatoires. Aujourd'hui, vivifié par une soif de vivre plus tressaillante que jamais, porté qui plus est par des projets un peu fous, de nouveaux horizons se sont ouverts devant moi. À mes pieds se déploie un océan de possibles.
Voilà où j'en suis, voilà le point de départ de ce radeau qui me portera au fil des jours au gré des vents et des courants.
Une page se tourne, un autre s'ouvre.
Hissez les voiles moussaillons !
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NB : Ce billet était le premier d'un nouveau blog.