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  • 31 décembre 2007

    Résultats du Grand Concours Glukxonien... Tadam tatam !

    3 commentairess

    Oyez Oyez Braves Gens


    En ce jour de la Saint Sylvestre de l'An de Grâces 2007,

    s'est tenue par devant nous, le Haut Conseil des Sages

    (enfin, je veux dire DU sage : Moi....)

     Sages auxquels était dévolue la suprême mission de désigner LA contribution Glukxonnienne

    digne d'accèder au titre convoité dans toute la Galaxie

    de "Meilleure Suite GLukxonnienne".



    Bon, trève de blabla, voici les résultats :


    (Roulements de tambour.... Tadadam tam tadadadam dadadadam !)



    Etant donné la qualité hors norme de vos productions (ce qui n'est absolument pas étonnant : votre seule qualité de lecteurs de ce blog admirable fait de facto de chacun de vous des êtres non moins admirables), le Grand Jury a décidé d'attribuer à chacune des productions, un prix spécial. Oué, je sais, ce n'est pas exactement ce que j'avais annoncé ab initio, mais je suis chez moi et je fais ce que je veux ! Na !  Non mé....


    Sans plus attendre, et pour ne pas tourner plus longtemps autour du pot, je serai bref et n'irai pas par quatre chemins pour vous dire que j'irai droit au but.


    LES RESULTATS :


    Prix de la suite la plus Pingouinesque : Anne, alias a_lisadream




    D’aucuns pensent encore -cette rumeur circulant principalement parmi la communauté des mouchotrons hybrides qui vivent reclus au fin fond de la province de l’Arachna-  que Gaston, frustré d’être mal cuit, aurait voulu profiter - en un temps où nos deux protagonistes étaient encore amis - des bouffées de chaleur de Pouppy  pour parvenir au degré de cuisson adéquat prévu dans le Code intersidéral d’excellence et devenir ainsi la meilleure quiche que l’asténosphère eut jamais connu. C’eut été possible sans compter l’allergie aux œufs de Pouppy ! Ce dernier fût victime d’un urticaire tentaculaire géant et ne pardonna jamais le pauvre Gaston, ruinant ainsi tous les espoirs  de cette quiche.
    Un beau jour où les deux ennemis se disputaient une fois de plus pour une histoire de priorité à droite grillée par Pouppy, toujours pressé comme seuls le sont les poulpes ménopausés  lorsqu’ils ont oublié d’enfiler leurs moufles, un beau jour, disais-je, survint par la porte 585 de la faille spatio-temporelle qui traverse Glukxon 888 un palmipède de la famille des alcidés qui se jeta dans les bras de Gaston en criant : « Je suis ton père !». Ce pingouin était un éminent chercheur en astrophysique et leur expliqua comment, lorsqu’il y a fort longtemps, en voulant préparer le buffet du séminaire intersidéral qu’il organisait chaque année, il avait, dans un moment d’inattention, confondu le four et le dématérialiseur transgalactique au moment de faire cuire la quiche lorraine et le poulpe pour le dessert. Au lieu de cuire, Gaston et Pouppy que vous aurez dès lors reconnus, furent téléportés sur Glukxon 888. Ce périple ne fût pas sans incidence sur l’état de santé de Pouppy. Il  engendra un dérèglement de l’axe hypothalamo- hypophysaire que l’on sait responsable de bons nombre d’hypogonadismes. C’est ainsi que Pouppy fut ménopausé.  Après cet incident, le papa pingouin, qui s’ennuyait sur sa banquise, décida de partir à leur recherche.
    A cet instant, une météorite traversa la porte 585 qui n’était toujours pas refermée. Gaston, pour son plus grand bonheur, fut cuit sur le champ.
    Quand à Pouppy, il tomba amoureux du papa pingouin qu’il réussit à convaincre de s’installer avec lui. Ils ne se marièrent pas, ils n’eurent pas d’enfants mais adoptèrent un des lardons de Gaston.



     
    Prix de la suite la plus Girafesque : Mathieu, alias Méchant Chimiste.
     

    Quoi que les causes de la guerre entre le Poulpe ménaupausé et la Quiche lorraine mal cuite soient restées mal éclaircies à ce jour, un rapide travail de recherche dans les archives du Bureau Intergalactiques des Brevets Ineptes (le BIBI) aurait pu facilement renseigner toute personne curieuse du sujet. Mais tout le monde s'en fout.
    Penchons-nous dessus cependant, non pas trop, attention, vous aller vous faire éclabousser !
    On aurait trouvé dans la respectable base de données du Bureau Intergalactique des Brevets Ineptes, sous le numéro GXK20071031,  un brevet ayant pour objet l'invention d'un séchoir à girafes révolutionnaire, ne nécessitant pas de remuer les oreilles.
    J'en sens un ou deux sur le point de dégainer une question idiote. Aussi, je m'empresse de répondre avant qu'ils ne se déshonorent en la posant. A quoi sert un séchoir à girafe, et quel rôle joue-t-il dans cette histoire ?
    Vous n'êtes pas sans ignorer que comme le dit l'expression, lorsqu'on n'a rien à faire, on repeint la girafe. Aussi, vous pouvez vous imaginer ce qu'il était urgent de la repeindre sur Glukxon 888, où la surface est aussi chauve que le crâne d'un bonze tibétain dégarni.
    Y'avait pas de girafes non plus objecteront les esprits chagrins... Mais sous le rayonnement cosmique intense qui y règne, n'importe quelle bactérie peut muter d'un moment à l'autre en girafe ! Autant vous dire qu'un tel événement était guetté impatiemment par nos deux protagonistes, lesquels étaient en bon rapport de voisinage forcé en ces temps là.
    C'est que ça occupe de repeindre une girafe. Y'a de la surface (sauf sur les microgirafes, mais alors, c'est du travail de précision). Il faut bien faire attention de ne pas baver quand on fait les tâches marron sur le fond jaune, de trouver la couleur juste pour l'extrémité des petites cornes, ne pas oublier une des quatre pattes... (enfin, si c'est une girafe conventionnelle... il peut arriver qu'on trouve une girafe verte à tâches mauves, avec trois cornes sur les deux têtes et un certains nombre de noeuds le long du cou et des six pattes, bien commodes pour grimper dessus et économiser l'échafaudage de la girafe. Quoi ? Y'a pas de petite économie !)
    Je disais donc que ça occupe de repeindre une girafe, l'inconvénient étant que les girafes mutantes n'apparaissent pas aussi souvent que ça, qu'elles sont aussi susceptibles de muter en cours de travaux, et on se retrouve à peindre un orychtérope, un clone de Chantal Goya ou une sardine trisomique. On n'a pas l'air fin dans ces cas là...
    Mais le principal inconvénient est qu'il faut attendre que la peinture ait séché avant de passer la couche suivante. En effet, les girafes étant aussi rares qu'un propos sensé de G.W. Bush ou un regard de pitié chez le rat musqué, les deux habitants de gluxkon238 avaient coutume de les peindre et repeindre jusqu'à ce qu'elle mute en souris verte ou bien qu'il y ait tellement de couches dessus qu'on ne discerne plus la forme de la girafe dessous. Mais le temps nécessaire au séchage était suffisant pour que l'ennui au regard morne fonde sur les malheureux autochtones de cette planète déshéritée.
    D'où l'invention du séchoir à Girafe par le Poulpe ménopausé, qui lui permettait de réduire le temps de séchage à dix minutes, et cela sans agiter les oreilles. Car enfin, si vous avez déjà vu des oreilles sur un poulpe (surtout ménopausé), vous aviez dû fumer des choses illicites ou abuser de l'eau de vie d'éperlans.
    Là où les choses des gâtent c'est que le Poulpe dans un élan d'égoïsme qu'envieraient bien des courtiers en bourse, breveta son invention et voulut vendre ledit brevet pour fort cher, y compris à son seul et unique voisin.
    Voilà donc les origines improbables et oubliées de cette guerre qui ravage la désolation de Gluxlon 238 entre deux repas, car les belligérants sont civilisés tout de même.
    Vous dire qui gagnera et comment, je ne le saurais. Peut-être la dernière technologie Poissonière 2.0 de la Quiche lorraine mal cuite aura raison de la ténacité du Poulpe ménopausé. Ou bien le dénoyauteur à huître de son ennemi juré l'aura envoyé rejoindre ses ancêtres avec cette remarque judicieuse : « Tes carottes sont cuites ! ».
    Je laisse ce récit épique aux historiographes de l'insignifiance. Je ne suis pour ma part qu'archiviste de l'inintéressant.






    Prix de la suite la plus référencée : Karine, alias Les Baby's
     

    Mais je pense connaitre la raison de cette dispute...
    La soeur de pouppy le poulpe ménauposé n'est autre que wonder woman aux soit disant bracelets sidéraux...ces fameux bracelets en cardium wonder équipés d'ultra son biosphérique a condensateurs neutre ont par erreur bloqué l'espace temporel ...
    Gaston la quiche lorraine mal cuite de retour de vacances d'oxo , superbe citée sauvage occupée par les ancetres de bob l'éponge une espece de grosse tarte molle a gros trous ...rentre donc avec son vaisseau futuria 888819 inspiraton de la Renault 8 intergalactique.
    Forcément il est crevé... les vacances sur oxo ne sont pas de tout repos...
    Wonder woman fait la paresseuse chez son frangin le poulpe. Dans le jardin aux lianes mangeuses de fortifox, vautrée dans une coquille st jacques géante petit bijoux de la constellation compostelle offerte par un ami pour pouppy du temps ou celui ci n'était pas ménopausé... vous m'avez compris...
    c'est donc  a ce moment la que gaston la quiche a fait la plus grosse bourde qui n'est jamais existée depuis 28 milliards d'années....
    Il a confondu pouppy creature visqueuse et collante comme un papier tue mouche avec la superbe wonder woman reine de beauté...
    celle ci outrée, fachée, vexée, bouleversée en a déréglé ses bracelets sidéraux provoquant une fuite de lithium space bloquant l'espace temporel et privant Gaston la quiche lorraine mal cuite de tout espoirs de démouler un jour sa quiche....
    Depuis la guerre régne sur glukxon888.




    Prix de la suite la plus "improbable" : Bruno, alias lui même....
     

    La dernière rumeur -et la plus plausible- circulant de manière insistante dans les moules à gâteaux branchés Glukxoniens serait tout simplement que Gaston était à l’origine un magnifique canard en plastique géant, mauve, ayant des problèmes d’articulation.
     
    Pouppy, bricoleur à ses heures perdues, lui avait alors proposé de le métamorphoser en tête de clown triste montée sur ressort, qui change de couleur toutes les 42 minutes.
    Gaston tout excité lui aurait donné son accord devant une telle aubaine, et Pouppy lui promit que son changeur quantique à 4 roues motrices serait prêt la semaine suivante.
    Seulement Gaston ne s’était pas méfié que Pouppy, âgé de 35 jours à ce moment là, aurait 7 jours de plus la semaine suivante et serait bien entendu ménopausé ! Et chacun sait qu’un poulpe acquiert à sa ménopause un sens de l’humour hors du commun et dévastateur … C’est ainsi que lors de la touche finale sur son changeur quantique, Pouppy décida en accord avec lui même de faire une blague drôle et de changer Gaston en superbe quiche lorraine.
     
    La suite, vous la devinez aisément : un ver d’acide gluant qui avait bu un peu trop de lait décolla à 3000 pieds lors d’une épreuve de saut en hauteur, percuta de plein fouet le système de distribution électrique de Glukxon, plongeant la planète dans l’obscurité.
     
    C’est à cet instant précis que Gaston se réveilla, mal cuit, avec la ferme intention de réduire Pouppy en micro-poussière intergalactique, que même le meilleur méta-aspirateur ne saurait repérer.
     
    Seulement Gaston perdait ses lardons … et pendant ce temps, sur la planète Klakxon 888 du même système galactique, une autruche dépressive cherchait à revendre une vis sans fin.
     
    Coïncidence ?






    Enfin, prix de la suite la plus conceptuelle : Adam, avec l'aide de Martin, alias Kingluther
     
    NB : C'est la seule suite écrite directement en Glukxonien.... Je n'ai pas pris la peine de traduire en vernaculaire, vous le ferez aisément vous même.
     







    Voili Voilou !
    Merci à tous pour votre participation, vous m'avez bien fait marrer, et j'espère que vous vous marrerez aussi en lisant celles des autres. Pour commencer l'année, ce n'est pas si mal un bon fou-rire non ?
     
    Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter un bon réveillon digne de ce nom
    ainsi qu'une
    Très Bonne Année 2008
    pleine de rires, de bonheurs, d'amour, d'argent, de sexe et de rock'n roll. 


     

    29 décembre 2007

    Pire Nawouel

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    On a retrouvé le Père Nawouel....  !!

    Eloignez les enfants.

    Une image terrible.


     

    28 décembre 2007

    Lendemain de fêtes

    3 commentairess


    Houaaaaaaaaaaaaaaaaa..... Quel pied de se lever à midi dix sans culpabiliser le moins du monde !


    Vraiment les vacances, ça a du bon. Profiter, glander, trainer, mater la TV, recevoir...


    Hier soir, je recevais quelques amis d'enfance, dont certains nous connaissons depuis nos 3 ans.... ouille ouille ouille ouille.... ça nous rajeunit pas tout ça ! Hélène, Philippe, Caroline, Sarah, Jérôme et moi. Nous nous étions revus l'été dernier lors d'un repas d'anciens élèves de notre école primaire et Jérôme avait lance l'idée d'organiser un repas pendant les fêtes. C'était hier soir chez moi.

    Rendez-vous avec Jérôme chez moi à midi pour un rapide repas et un brain-storming préalable, une rapide liste de courses que j'oublierai consciencieusement sur la table de la cuisine, et nous voici à Carrouf'. Notre mission : ramener des vivres pour un apéro crudités, de quoi faire des feuilletés au fromage et aux knaks, et de quoi élaborer un savoureux tajine de poulet aux citrons confits.

    Il est seize heures lorsque nous nous mettons aux fourneaux. Jérôme épluche, coupe, cisaille, je cuits, saisis, grille et mets à mijoter.

    18h31, nous sommes fin prêts ! La table est dressée, les apéros dans les coupelles, les verres brillent sur la table.

    Petit piment de la soirée : chacun devait apporter un petit cadeau nul à 2€... pour ma part j'avais débusqué un splendide dynosaure en caoutchouc orange qui fait "coin coin", et Jérôme une magnifique raclette à givre en plastique vert fluo. Les autres n'avaient pas chaumé non plus : j'ai hérité d'un magnifique porte savon en plastique rose du meilleur goût.

    Nos invités arrivent sur le coup de 19h30. Retrouvailles, bonne humeur, jovialité, fous rires, on se raconte nos vies, ce qu'on est devenus, nos parcours assez différents les uns des autres... on refait le monde.

    L'heure tourne, on ne voit pas le temps passer... il est déjà 2h du matin... On s'embrasse, on se quitte, du baume au coeur et le coeur léger.

    La vaisselle est remisée dans le lave-vaisselle qui travaillera à ma place et voilà, couché à.... heu... ben, environ 4h du matin (le dernier café m'a joué un vilain tour), et levé à midi et des poussières. Houlaaaaaaaa, que ça fait du bieeeeen !


    Cet après midi, ben faut vraiment que j'aille me faire couper les tiffs. C'est plus des cheveux, mais une jungle ! Ca dépasse de tous les cotés, un vrai scandale. Le coiffeur va avoir de sacrées ampoules, foi de Tambour Major !

    Puis après, un ptit peu de sport histoire d'évaporer les calories superflues ingurgitées ces derniers temps... ahem. Bon, puis en même temps ce sont les fêtes, faut pas non plus cracher dans la soupe et se priver drastiquement : la frustration est une vielle conne inutile qui mérite de croupir dans une marre de purin nauséabond.


    Ensuite, ben ensuite la fête continue dès lundi soir !

    26 décembre 2007

    Time Over

    0 commentaires
     

    Ca y est, c'est terminé !

     

    Hein ? de quoi parle-t-il ?

    - la fin de l'année ? certes...

    - la fin des haricots ? Non, elle aura lieu dans 76538 jours et 4 minutes après ma belle soeur

    - la fin du monde ? Non, elle a déjà eu lieu 23109 fois, en théorie du moins.

     

    Mais la fin de quoi alors ?

     

    La fin du délai imparti pour participer au Grand Concours Glukxonnien voyons !

     

    J'ai reçu quelques contributions (un peu moins que ce que j'escomptais... chuis un peu déçu pour le coup...) mais j'ai bien ri !

    Tout cela est désormais mis en délibéré avec moi même et je vous livrerai le résultat de mes cogitations effreinées le 31 décembre prochain.

    Cela dit, si je recevais encore d'ici quelques bafouilles bien senties, je ne cracherai pas dessus et leur tardiveté ne se verra pas opposer une forclusion rédhibitoire.

     

    D'ici là, je vous souhaite de bonnes fêtes et de bonnes vacances pour ceux qui en ont.........  Mwahahahahahahaha

    23 décembre 2007

    Joyeux Nawouel !

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    Ca y est, depuis maintenant un jour, je suis enfin en vacances... Je vais pouvoir profiter de nawouel en famille débarassé de toute charge de travail inutile.

    Hier j'ai terminé ma session cadeaux tranquillement, j'ai trouvé exactement ce que je voulais et n'ai pas eu à affrontrer une horde sauvage de consommateurs en furie se bousculant aux caisses comme des moutons à la sortie de la bergerie.

    Hier soir furent également inaugurées les premières hostilités festives autour d'un plat de pates façon risotto et d'une sortie jusqu'au bout de le nuite en compagnie de 3 comparses en manque de décibels.

    Couché à 6h30 du matin après une bonne douche et un champoignage intensif, et hop ! Me voici frais comme un gardon.

     

    Cet après midi ça va être tout aussi tranquilou : Opéra  à 15h (je vais voir la Belle Hélène de J. Offenbach) puis, peut être "tea time" avec Emma et Fred, et retour aux sources dans mon chez moi de chez mes parents pour quelques jours, histoire de ne pas manquer le passage du père nawouel, parce que ici chez moi à Toulouse, je n'ai pas de cheminée. Je pourrais laisser la terrasse ouverte, mais je ne sais pas si ça marche aussi bien. Je ne préfère prendre aucun risque... Il y a des choses avec lesquelles il ne faut pas rigoler !

     

    Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter à tous un Joyeux Nawouel, en famille  ou entre amis, selon les possibilités de chacuns, en espérant que vous avez tous été bien sages et que vous aurez plein de cadeaux !

     



     

     

     

    JOYEUX NAWOUEL A TOUS !


     

    21 décembre 2007

    The Final Count Down...

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    Dans quelques heures....

     

    Je serai enfin

     

    en

     

    VACANCES !

     

    Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii  !

    Ce matin, 3h de permanence à la bibliothèque de droit privé, à midi déjeûné avec mes étudiants, puis de 14h à 15h30 cours d'analyse de l'actualité. Et après hop: céfini ! Demain : dormage intensif. Après, on verra, mais j'ai déjà beaucoup de choses en prévisions.

     

    Je vous rappelle également le FABULEUX CONCOURS GLUKXONNIEN que même l'Académie Française elle nous l'envie. J'ai reçu hier une nouvelle contribution, et attends toujours celle de Kingluther, Jippé, et de tous ceux qui voudront bien perdre quelques minutes. Encore 4 jours avant la cloture des participations... De magnifiques prix à gagner. La meilleure sera publiée !

    19 décembre 2007

    Journée cadeaux...

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    Tam-tam tamtam-tam tam - tamtam tam - tam-tamtam tam.... (générique de mission impossible)

     


    Bonjour Tambour Major

    Ici le Père Nawouel,

    Nous avons appris de nos agents infiltrés que certains membres de votre entourage - vos parents en l'occurence - ont besoin de renouveler leur machine expresso.

    Il est avéré de source sûre que ces individus procèdent régulièrement dans leur cuisine (converti pour l'occasion en laboratoire clandestin) à des dégustations de nectar cafeïnique lors d'un rituel étrange. Tout le monde s'assied autour de la table, et remue frénétiquement un petit bout de métal dans une tasse, sans piper mot.

    Depuis quelques temps, il semblerait que la machine expresso soit défectueuse.

    Votre mission si vous l'acceptez : vous rendre en ville, et ramener un nouvel expresso.

    Vous agirez avec prudence et discrétion.

    Si jamais vous tombiez entre les mains de l'Ennemi, nous nierons avoir eu connaissance de vos agissements.

    Bonne chance !

    14 décembre 2007

    Bordeaux m'a tuer..........

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    Je suis vivant !!

    Si ...

     

    Je sais que certains d'entre vous se sont émus de mon sort et m'ont envoyé des semis-remorques de chrysantèmes en prévision d'obsèques prochaines - je tiens en les en remercier  - et attendaient avec une impatience à peine contenue le billet de ce jour qui attesterait de ce que ne suis pas tout à fait moribond. J'espère que la lecture de ces lignes fera aussitôt cesser les cascades de larmes qui ruissèlent sur leurs jours creusées de sillons d'inquiétude toute naturelle et ravivera en eux la flamme de l'espérance en des jours meilleurs où ils toucheront enfin du doigt celui qui, des dix siens, transforme - Ô miracle - leur morne quotidien en une oeuvre d'art absolue.

     

    Pour les retardataires qui n'auraient pas lu mon billet d'hier, je devais ce jour me rendre à Bordeaux en compagnie de 3 autres personnes de l'ICT pour une opération de prosélitisme estudiantin en prévision de la rentrée prochaine lors du salon Studyrama.

    Hier soir, couchage finalement tardif quoique normal pour moi, soit 1heure du matin. Nuit calme mais courte puisque mon grand ami le radio-réveil m'a violemment extripé des bras de Morphée, dans l'étreinte desquels qui je me trouvais pourtant si bien, sur le coup de 4H50, soit exactement 3heures et 50 minutes plus tard. Effectivement, c'est peu.

    Une douche bien chaude et j'attaque un solide petit déjeûné composé d'1/2 litre de lait agrémenté d'une dose de protéines, 1 tranche de pain de mie complet agrémentée d'un reste de confiture de fraise, puis 3 autres pour accompagner 4 carrés de chocolat noir, une banane pour pousser, le tout arrosé par une tasse de café. J'enfile mon costume, m'emmitouffle dans mon parka et mon écharpe, puis m'apprête à affronter le froid polaire qui baigne la ville rose en cette nuit de presqu'hiver. Bonne nouvelle : toulouse à 5H30 du matin, ça roule plutôt bien !! J'arrive à l'ICT, gare mon vélo et hop nous grimpons dans une grosse voiture. Notre destination : Bordeaux. Plus précisémment "Hangar 14".... Quand j'ai lu ce nom sur le plan, je me suis dit tiens, c'est zarb comme nom ça... Ca existe vraiment cet endroit ? On dirait un dépôt industriel...Ou alors le nom d'un club SM, ou un endroit de perdition Gay... Et pourtant, situé sur les bords de Garonne, le Hangar 14 est effectivement un... hangar ! Entièrement rénové, façon garage en béton armé glauque à souhait, le 1er étage était aménagé pour accueillir le salon Studyrama. Simple mais efficace. Il est 9h du matin et nous installons notre stand. Une affiche par ici, un panneau par là, des dépliants, de la doc, de la pub... Parés pour la bataille !

    On nous annonce qu'un petit dèj nous attend dans l'espace exposants. Oui, ce sera bienvenu... depuis 5h du matin, mine de rien, ben ça creuse tout ce trajet ! Face à nous, des montagnes de mini-viennoiseries, arosées à volonté de thé, café, jus de fruit. Bien foutu ce salon !

    10h : le forum ouvre ses portes. Les premiers étudiants arrivent, passent, re-passent, nous posent des questions sur nos diplômes, les études, tout ça tout ça..., repartent avec de la doc et le sourire... Notre argumentaire est bien rodé et la présence à mes cotés de 2 sympatiques étudiants de la FLD fait mouche : témoignage précieu que celui de ceux qui vivent déjà l'aventure. Alors, viendront s'inscrire ? Viendront pas ? Suspens....

    Il est 11h30, petite pause café. Ce sera la première d'une longue série... La fatigue étant d'heure en heure plus lourde.

    13h... si on allait à l'espace exposants voir ce qui s'y trame ? La curiosité est un joli défaut : c'est l'heure du champagne, des petits fours et des petits gateaux... Luxe ! On se fait pas prier, on se sert, on bois (avec modération : on est en représentation tout de même !), un ptit canapé par ici, une tartelette par là... C'est très bon mais ça nourrit pas son exposant. Nous descendons à l'espace restauration et me contente d'un sandwich au paté agrémenté d'un coca, et zou, de retour au stand. L'après midi ne verra pas beaucoup plus d'étudiants que la matinée. Enfin, nous sommes quand même des privilégiés eu égard au désintérêt total que suscite le stand situé à notre voisinage : BTS lunettier... si si, j'vous jure que ça existe ! 15H30 : 2416° café de la journée. Dans nos veines coule de la caféine pure. Et ce n'est pas de trop ; la brieveté de ma nuit commence cruellement se venger sur mon état général.

    17h déjà... le salon ferme dans 1heure. Nous n'aurons pas le courage d'attendre jusque là : à 17h45 le stand est plié, en attendant la relève demain.

    Nous regagnons la voiture, mettons le chauffage à fond, et nous engouffrons dans les effroyables embouteillages bordelais. Le retour me paraîtra interminable... je suis crevé... j'ai les yeux qui vont sortir de leur orbite. Je sombre quelques instant dans un demi-sommeil et Morphée m'emporte vers des horizons lointains...

    J'ouvre un oeil : "Toulouse 182" annonce un panneau... On n'est pas encore arrivés ? Pffffff... j'en ai raz-le-bol... je veux rentrer chez moi !

    Kilomètre après kilomètre, nous voici enfin devant la porte cochère de l'ICT. On me dépose, je récupère mes affaires, salue mes coreligionnaires de la main et vais récupérer mon vélo qui m'attend sagement.

    Le froid est terrible, j'ai les mains congelées... Je crois bien avoir vu des pingoins danser sur la Garonne... Qu'on est bien chez soi !

     

    Assailli par un épuisement total, je trouve le réconfort dans une soupe aux nouilles chinoises brûlante et hyper épicées (c'est dire mon désarroi !). Repas très déséquilibré : saucisse sèche, paté maison, poisson, 3 nems, un reste de pois-chiches mijotés, une Asahi rafraîchie à a va-vite par quelques glaçons (comble du sacrilège, mais je n'ai même pas honte).

     

    Une bonne nuit de sommeil et il n'y parraîtra plus. Normalement !

    Demain aussi c'est journée marathon !

    Allez, dans une semaine pile-poil, je serai enfin en vacances.... On s'motive on s'motive !

     

    13 décembre 2007

    Demain...

    6 commentairess
     

    Demain va être une des journées les plus rudes qui me seront données de connaître avant de méritoires vacances de nawouel.

    Demain, je dois me rendre à Bordeaux pour le forum Studyrama, salon de l'étudiant, afin d'y présenter les activités d'enseignement du magnifique établissement que j'ai l'honneur de cotoyer depuis maintenant 4 mois sans interruption. En compagnie de quelques étudiants et de personnel, nous allons braver la foule et éclairer la populasse sur LA vérité universelle, répandre la Bonne Nouvelle qui pourfendra un obscurantisme aussi commun que navrant : il y a une vie après le Bac... Et cette vie peut notament prendre greffe à l'ICT.... Ouééééééééééééé ! (tous en choeur....).

    Quoi de dramatique à celà ?

    Hormis que ce sera à n'en point douter une journée éprouvante parce qu'obligé de rabacher 8.735.031 fois la même chose au milieu du bruit (et peut être de la fureur ?), il faudra pour celà, je vous le rappelle, que je me rende à Bordeaux.

    Bordeaux, charmante bourgade dont on doit l'origine à la tribue gauloise des Bituriges-Vivisques qui décida, au 3ème siècle avant J.-C., de fonder la cité de Burdigala au confluent du Peugue et de la Devèze. La ville a construit sa richesse sur cet emplacement privilégié, tirant du sol et du climat les meilleurs vins du monde et bâtissant autour de son fleuve le premier port de France (1750) et l'un des plus grands centres européens de négoce et d'échanges. Bien des siècles plus tard, en une époque où chacun recherche une nouvelle douceur de vivre, cette situation sur la façade atlantique du sud-ouest français reste l'un des meilleurs atouts de la ville.

     

    Mais de quoi se plaint-il à la fin ?? C'est énervant !

     

    Laissez moi y venir...

    Nous devons être à Bordeaux à 8h30.... or, le trajet en voiture prend environ 2h30.... si vous faites le calcul avec moi, il faut donc mettre les voiles à 6H du matin...

    Or, s'il faut partir à 6h du matin, cela signifie correlativement qu'il faut se lever une bonne heure plus tôt, soit aux alentours de 5H, voire un petit peu plus tôt. Bon, oué OK faut se lever tôt ET ALORS ?

    Ben, tout serait simple si en ce moment, mon heure de sommeil-attitude ne se situait pas aux environs de... 1H du matin...!

    Vous comprenez maintenant ?

     

    Ou alors faire nuit blanche... Mais je crains que ce ne soit pire que tout....

     

    Samedi c'est décidé : je fais l'ours. Le premier qui me réveille, je l'étrippe avec les dents façon corned-beef.

     

    Vous savez quoi ? Je deteste les réveils !

    11 décembre 2007

    Compte à rebours...

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    Nous sommes mardi 11 décembre...

     

    Dans 3 jours je vais à Bordeaux pour un salon étudiant

    Dans 5 jours aura lieu la Murder sur les Super-Heros

    Dans 11 jours je serai en vacances

    Dans 12 jours je vais voir la Belle Hélène à l'Opéra

    Dans 14 jours c'est Noël

    Dans 20 jours c'est la St Sylvestre (et le 1er janvier la St Titi ??)

     

    Et pendant ce temps, ben... je prends mon mal en patience.

     

    Envie de pas envie

    Envie de dormir

    Envie de chaleur

    Envie de réconfort

    Envie chocolat chaud

    Envie de couvertures

    Envie de feu dans la cheminée

    Envie d'amitié

    Envie de calins aussi

    Envie prendre mon temps

    Envie de ceux qui sont loin

    Envie de... me sentir vivant.

    7 décembre 2007

    Hé ben.... *mode raz-le-bol ON*

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    Vous allez dire que je me répète, mais j'en ai raz-le-bol....

    JE VEUX DES VACANCES !

     

    là toussuite !!!

     

    A part 3 jours pour le 11 novembre, j'ai pas eu une seule vraie semaine de repos depuis... fin août ! Si ma pauv' dame, vous vous rendez u peu compte ? FIN AOÛT !? Non mais où ça s'est vu ça ? Hein ? je vous le demande moi ...

    Il reste encore 2 longues semaines avant que n'arrivent les congés de nawouel et là croyez moi ça va faire TRES mal : dormir, dormir, glander, dormir, re-glander, faire outrancièrement la fête, re-re-glander, voir des amis aussi, re-re-dormir... dans les grandes lignes. J'vais pas me priver.

    En plus nawouel approche et je n'ai pas encore commencé mes cadeaux ; j'ai largement le temps c'est vrai, mais quand même, il y a encore quelques personnes pour lesquelles je n'ai encore aucune idée bien définie. Un ptit tour dans les magasins en ville saura vite me décider je pense.

     

    N'oubliez pas le Grand Concours Glukxonnien qui se clôture dans 2 semaines. JP : j'attends la bafouille que tu m'as promise ! Anouck ? T'as pas changé d'avis ? Et les autres ? Allez allez, on se bouge !

     

     


    Je sais, ça n'a aucun rapport mais ça m'a bien fait marrer...



    Et pour finir en apothéose, un article vu dans France Soir daté de ce jour :

    Ecologie - Le pet de kangourou pollue moins que celui de bovin


    Alain Vincenot, le vendredi 7 décembre 2007 à 05:00


    Des chercheurs australiens ont découvert qu’une bactérie évitait aux kangourous d’émettre du méthane dans leurs flatulences. Ils vont essayer de la transplanter chez les bovins. Un espoir pour la couche d’ozone.


    Coup de tonnerre, le 29 novembre dernier : dans un rapport consacré à l’impact écologique de l’élevage, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) désignait celui-ci comme « un des premiers responsables des problèmes d’environnement ». A l’origine de cette accusation : le pet de bovin et d’ovin. Car, c’est bien connu, dans leurs pâturages, vaches et moutons ne se contentent pas de regarder passer les trains. Ils se laissent aller à des flatulences particulièrement agressives pour la couche d’ozone. Et, malgré leur quiétude apparente, constituent un véritable danger pour la planète. Par jour, une vache envoie ainsi dans l’atmosphère environ 50 litres de méthane, et l’ensemble du bétail broutant sur notre bonne terre en produit annuellement 74 millions de tonnes. Or ces rejets ne cessent d’augmenter avec la croissance démographique qu’accompagnent de plus grands besoins alimentaires. En un siècle, ces nuages néfastes ont été multipliés par 4,5. Au point que dans son rapport la FAO soulignait qu’en équivalent CO2 la part de l’élevage dans le réchauffement climatique est plus élevée que celle du secteur des transports.


    Sur plusieurs années


    D’où l’importance de la démarche entreprise par des scientifiques australiens. Après avoir constaté que, à l’inverse des vaches et des moutons, les flatulences de kangourou ne contenaient pas de méthane, ils ont identifié dans leur estomac la bactérie expliquant cette particularité. Et de tenter maintenant de l’isoler avant de la transplanter chez des moutons et des bovins, afin de les rendre moins polluants. Des travaux qui devraient prendre plusieurs années. Athol Klieve, un des chercheurs du programme mis en place par le gouvernement de l’Etat du Queensland, au nord-est de l’Australie, rappelle que dans son pays « 14 % des émissions de toutes origines proviennent des entrailles des bovins et des ovins ». Et de préciser que dans certains pays d’élevage, comme la Nouvelle-Zélande, le niveau atteint 50 %.


    Le progrès est en marche !


    3 décembre 2007

    Blague du lundi

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    Fraîche du jour, elle m'a bien fait marrer.

     

    Un homme d´affaires doit se rendre à l´étranger pour quelques jours; il  convoque le bon Saïd, son fidèle domestique, et lui explique la situation :

    - « Tu vois, je dois aller à l´étranger quelques jours ; fais bien  attention à ce que tout se passe bien ici, et pour n´importe quel   problème, appelle-moi.  

    -  Oui monsieur, toi pas faire de soucis ».

    Après quelques jours, l´homme d´affaires, n´ayant pas de nouvelles,
      
    appelle Saïd :

    - « Ciao, Saïd, comment ça va?

    - Tout très mal !

    - Pourquoi ? Qu´est-ce qui s´est passé ?

    - Manche de la pelle cassé...

    - Mais Saïd, sacrebleu, tu m´as presque flanqué un infarctus !Tu me dis que ça va mal, et ce n´est que le manche de la pelle qui est cassé !? »

    Mais, pris de remords, il pense que Saïd pourrait se froisser, et il  cherche alors à adoucir le ton :

    - « Comment c´est arrivé ?  

    -  Oh rien, j´enterrais le chien  

    -  Quoi ?! mon chien, que j´aime comme un fils ?! Mais comment cela est-il   arrivé ?  

    -  Tombé dans piscine !  

    - Mais Saïd, c´est un Terre-neuve, un chien qui nage !! comment  a-t-il pu se noyer dans la piscine?

    -  Pas d´eau dans piscine, et lui tombé, mort.

    -  Mais comment ça, il n´y avait pas d´eau dans la piscine ?! Mais puisque la semaine dernière on a fait le nettoyage et mis l´eau pour l´été ! »

    -  Oui mais l´eau prise par pompiers pour éteindre incendie. 

    -  Incendie, mais quel incendie Saïd ?

    -  La maison a pris feu !

    -  Ma maison ?! Mais comment ça s´est passé ?  

    -  Chapelle ardente de madame maman, une bougie près de tenture, tout brûlé.  

    -  Chapelle ardente, ma mère est morte ? Mais on a fêté l´autre jour ses 70 ans, et elle était en pleine forme !

    - Oui, mais hier nuit votre mère n´arrivait pas à dormir, alors allée demander aide à votre femme, mais l´a vue dans le lit avec votre meilleur ami, et elle morte d´infarctus .

    - Mais enfin Saïd, ma femme me trahit avec mon meilleur ami ? Saïd,  je m´absente 4 jours et ma vie est foutue !... Il n´y a vraiment rien de positif ?  

    - Si, patron, vous souvenir que l´autre semaine, vous faire test pour Sida ?

    - Oui.

    - Voilà... ça positif ! »

     

     

    Bonne journée tout le monde !

    29 novembre 2007

    Sabotage !

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    Aujourd'hui j'ai été victime d'un sabotage odieux au bureau...

     

    Après une longue matinée de droit civil avec mes première-année au cours de laquelle je leur ai démontré les limites de la théorie de l'abusus dès lors qu'on l'applique à la propriété foncière non bâtie (oué je sais, des fois je dis des trucs hypra intelligents que vous ne comprenez pas...), je revenai à mon bureau pour déposer mes affaires et me munissai de ma carte de restauration pour aller à la cantoche.

    Alors que je fouillai dans la poche de ma veste pour en extraire le précieux césame sans lequel la gentille dadame de la cantoche me fait les gros yeux, je m'aperçu avec horreur que mon bureau avait été le cadre d'un acte de sabotage absoluement inqualifiable.

     

    Les images parlent d'elles même : 

     


    Bref vous l'aurez compris, le Tambour Major est de retour, aussi loufoque qu'auparavant. Hier soir, assomé de fatigue, je me suis couché à 21h45 pour me réveiller ce matin à 7h30... si ! D'un coup d'un seul ! Et cela faisait un sacré bail que je n'avais pas dormis aussi longtemps. J'avoue que j'en reprendrai bien un ptit peu mais hélàs je n'ai pas le temps en ce moment... Snif. Les vacances de nawouel approchent peu à peu. Courage !

    Je profite aussi de ce billet du jour pour vous secouer un peu les puces : hormis Méchant Chimiste, personne à ce jour n'a daigné me faire parvenir la moindre contribution pour le Grand Concours Glukxonnien... Ben alors ? Kessivouzarrive ? Z'allez encore attendre le dernier moment, comme pour payer vos impôts ? Allez allez, on se motive, on pond une bonne grosse connerie dont on n'aura pas honte parce qu'avec toutes celles que je peux produire moi même il y aurait parfois de quoi s'enterrer en plein sahara. Nouck m'a certes averti qu'elle ne me fournirait rien mais je suis sûr qu'en la titillant un peu, on doit pouvoir la faire changer d'avis... hein ? Et noubliez pas les super-cadeaux promis... Je compte sur vous !

    28 novembre 2007

    Chûuuuuuuuuut !

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    DORMIR !



    Et ne me réveillez que demain.

    27 novembre 2007

    Fourbu...

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    Harassé

    Fatigué

    Exténué

    Vanné

    Las

    Epuisé

    Ereinté

    Brisé

    Anéanti

    Lessivé

    Fourbu

    Vidé

    Claqué

    Crevé

     

    Moribond je suis !

     

    Les étudiants m'ont littéralement meurtri...

     

    je n'en peux plus...

     

    ....argh.... (râle rauque...)

     

    et c'est pesque à l'agonie (si....) que je me penche sur le clavier pour écrire ces quelques lignes,

    pour toi, public adoré.

     

    [mode démagogie switched-off]

     

    "Que m'est-il arrivé ?" vous demandez-vous sûrement, émus du drame Balzacien qu'est ma vie ce jours ci.

    Pour faire simple, depuis hier et jusqu'aujourd'hui, j'étais chargé de faire cours à des fonctionnaires territoriaux de catégorie B sur un thème qui ne manquera pas de susciter tout votre intérêt : "cadre général de la responsabilité des agents sociaux et sociaux médicaux". Ca fait envie hein ? Au programme : l'organisation judiciaire, la responsabilité civile, la responsabilité administrative, la responsabilité pénale et la responsabilité professionnelle... Bref un programme gargantuesque, chacune de ces thématique pouvant faire l'objet d'un cours semestriel voire annuel.... et moi je disposais en tout et pour tout de 12h chrono pour relever ce défi de l'impossible - relevé avec un brio sans  égal, ce qui n'est pas pour vous étonner. En face de moi, 12 agents publics plus ou moins dissipés, bourrés de questions en tous sens... de vrais gamins !! Affreux... Bon, mais quand même très interressant, faut pas cracher dans la soupe. Je le referai avec plaisir, mais alors pas de la même façons. Ou alors, en prévoyant de dormir pendant 48h juste avant.

    Et puis comme ça ne suffisait pas, j'avais déplacé mes TD à la fac de droit pour les caler hier et aujourd'hui de 18h30 à 20h. Soit chaque jour 7h30 de cours. Ah, oui, détail amusant, les cours pour mes petits cadres B avaient lieu à l'autre bout de la ville : transport publics obligatoires à l'allée et au retour (hors de question d'y aller en voiture, le métro me conduisant à destination presque directement, pourquoi s'embêter sinon par pur mazochisme... oué, remarquez, vu comme ça, ça peut être tentant....). Donc, pour être sur place à 8h30, ben levage le matin à.. 6h30.... ouééééééé ! J'adore. C'est bien connu : le matin le Tambour Major faut rien lui demander avant 10H et un demi litre de café. Mais là, ben, super forme de bon matin, la patate et la banane. J'ai tout donné, et même au delà... Hé oui, je suis comme ça : ma conscience professionnelle me pousse à aller au delàu de ce que même un sur-homme peut endurer... Mais le Tambour Major (je devrais même dire Tambour Maximus si j'étais un peu orgueilleux) a ses limites et ce soir elles sont atteintes.

     

     

    Voici que mes forces m'abandonnent, je vais bientôt rendre les armes... Je sens un froid glacial m'envahir. Le Tambour Major s'effondre sous le poids d'une incommensurable fatigue dont je serai remis demain matin, telle phoenix magnifique qui dort en moi.

     

     

    Enfin, bientôt le week-end...

    Aaaaaaaaaaaaah....  O joie indicible, réconfort de l'âme....

     

     

     

    Hein ? Comment  ? Que dites vous ?!

     

     

    Nous ne sommes que Mardi ............... ? Nooooooooooon..... c'est pas possib'........... 

     

    Des vacances.... viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!!!!!!!!!!!!!

     

    23 novembre 2007

    Vendredi 23 novembre, 13h42... Tranche de vie.

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    Il est 13h42, je suis à la Fac de droit, je viens de terminer mon repas composé d'une part de tarte aux courgettes et d'un excellent sandwich chèvre/coppa/tomate séchée, agrémentés d'un coka light et bientôt d'un café passablement buvable que les mauvais esprits qualifient de "mazout", mais qui a le mérite non négligeable de contenir une dose conséquente de caféïne bienfaisante pour ma tonicité.


    Autour de moi des gens s'agitent, corrigent des copies, discutent  de tout et de rien.



    "En fait, il faut passser pas Auch, et au lieu de prendre centre ville, tu prends la rocade"

    (extrait d'une conversation à ma droite).



    "La mythologie quoi ? Ah oué, à quelle heure ?"

    (conversatoin téléphonique de la secrétaire)



    Cet après midi, je dois aller à la catho pour bosser. J'ai notamment pour mission de rencontrer une responsable de comm' pour les forums étudiants. Ouéééé....


    Après, ben je vais essayer de m'isoler pour bosser ma thèse. Je suis allé à la BU ce matin et j'ai ramené plein de bouquins formidables. Ouéééé .....


    Ce soir à 19h je suis attendu pour une soirée raclette. Ouééé ....



    "Ah si le gers c'est dangereux : t'as des melons qui traversent la route !!!

    - C'est n'importe quoi ! le gers c'est pas dangereux, il suffit de savoir conduire"

    (propos surréalistes tenus sous mon nez à l'instant)




     Bref, une journée palpitante.

    Ouéé......




    Tient, le Ptitcréole me fait coucou sur MSN



    Moi je ne rêve que d'une chose pour cette après midi et le mois qui vient..




    CA :








    Et qu'on me foute la paix !

    Vivement les vacances de noël.




    Trop dure la vie...






    20 novembre 2007

    Et bon appétit bien sûr !

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    Aujourd'hui nous avons le plaisir de vous présenter une recette facile et légère qui saura égayer vos tables de fêtes et ravir vos invités.

    Tarte fine aux foies de taupe meringuée
    (pour 6-8 personnes)


    Difficulté : ***          Prix : **********           Temps de préparation : ****


    Profondément originale, cette tarte servie indifféremment en entrée sur un verre de porto blanc, en plat principal accompagnée d'une salade de roquette au vinaigre balsamique millésimé, ou en dessert assortie d'un sorbet au kiwi, vous offrira l'occasion de découvrir des saveurs incomparables.
    Le parfum délicat des foies de taupes, qui n'est pas sans évoquer le hareng-saur rance,  se trouve superbement mis en valeur par la crème délicatement ourlée d'exquises senteurs citronnées. La texture subtilement granuleuse tout autant qu'astringente des foies de taupe contrastera admirablement avec celle moelleuse et suave du foie gras. Une alliance de Maître Queux !

    Ingrédients :

        - 500g de pâte feuilletée (à commander chez Pillon ou Faucher)
        - 24 taupes adultes en bonne santé élevées au grain
        - 200g de crème fraiche d'isigny entière (mais sans la vache)
        - 10 dl d'armagnac VSOP
        - 2 dl de curaçao bleu
        - 1kg de foie gras premier choix
        - 2 oeufs d'autruche (en importation d'Australie)
        - 200g de raisins de corinthe de qualité supérieure importés par avion
        - 1 bon verre de sirop de canne extra vierge
        - 500g de sucre blanc
        - 400g de beurre de Normandie fermier extra fin
        - 200g de farine
        - 5 citrons non traités du Chili
        - 20 cl d'eau de vie de poire
        - Sel de Guérande
        - Poivre noir du Guatémala

    Préparation

    1/ Dans une jatte, mettez les raisins de corinthe à macérer dans 1/3 de l'armagnac.

    2/ Assommez les taupes à l'aide d'un maillet en bois d'olivier et les dépecer soigneusement. Extraire délicatement le foie en prenant garde à ne pas percer la vésicule. Cette première étape nécessite organisation et rigueur, en particulier afin d'éviter que les petits mammifères ne courent partout dans votre cuisine et ne filent à l'anglaise ! 
    On veillera en outre à utiliser un petit couteau au tranchant précis, voire un scalpel. Vous éviterez d'exploser les taupes à l'aide d'un fusil de chasse : si la méthode est certes plus rapide, l'éparpillement inévitable de l'animal sur votre plan de travail ne pourrait guère convenir qu'à un hachi parmentier.

    Le truc du chef : Nous vous recommandons de choisir les taupes bien grasses, au poil vif et luisant. Certains éleveurs jugent bon de leur sectionner les 4 pattes afin qu'elles engraissent plus vite. Nous ne saurions que trop mettre en garde notre aimable lectorat contre une pratique barbare d'un autre temps que nous condamnons sans retenue !

    3/ Faites chauffer une sauteuse en cuivre et faites fondre un généreux morceau de beurre fermier frais. Dès qu'il dégage une douce odeur de noisette, faire poëler les 24 foies de taupes encore frétillants. Saler et poivrer. Ils sont à point encore rosés et que le sang perle lorsqu'on les pique avec une aiguille. Flambez au curaçao. Réserver.

    4/ Découpez le foie d'oie en escalopes d'un bon centimère d'épaisseur et faites les saisir à feu très vif sans ajouter de matière grasse. Assaisonnez. Ce mets de première noblesse n'a pas peur du poivre dont vous saurez copieusement le gratifier. Lorsque vos escalopes sont bien dorées ajoutez les raisins avec le jus de macération. Flambez. Réservez.

    5/ Mettez le four à chauffer thermostat 7 ( 210 °C). Pendant que le four monte en température étalez la pâte feuilletée de sorte à obtenir une alloge d'un demi centimètre d'épaisseur. Fariner un moule à tartes de 30 cm de diamètre et y disposer l'allonge. Faire un bord et piquer le fond de la pate avec une fourchette.
    Faire cuire ce fond de pâte à blanc pendant 30 minutes. Ne pas démouler en fin de cuisson.

    6/ Prenez les 2 oeufs. Séparez les blancs des jaunes. Réservez

    7/ Dans une casserole en cuivre, faites fondre 200g de beurre. Faites un roux avec 200g de farine. Ajoutez les 2 jaunes et battez vivement avec une spatule en maintenant un feu très doux. Allongez avec le reste d'armagnac. Sucrez à l'aide d'un bon verre de sucre de canne. Parfumez avec le zeste et le jus et le zeste de 5 citrons non traités.

    8/ Montez la crème fraiche en chantilly très épaisse et incorporez là à la préparation précédente en soulevant délicatement la masse pour ne pas la faire retomber.

    9/ Disposez uniformément les escalopes de foie, les raisins et les foies de taupe dans le fond de tarte précuit. Verser la préparation citronée sur le fond de tarte. Placer au frais pendant 3 heures minimum.

    10/ Préparez une meringue italienne. Faites dissoudre 500g de sucre dans 150g d'eau tiède et faites un sirop. Mettez le à cuire à feu doux dans une casserole jusqu'au petit bouler (120°C). Pendant ce temps montez les 2 blancs d'oeuf en neige très ferme. La préparation doit collez au saladier sans tomber lorsque vous le renversez. Versez le sirop bouillant en fin filet sur les blancs sans cesser de fouetter à grande vitesse. Battre jusqu'à refroidissement. Réservez.

    11/ Allumez le four en mode grill. Disposez harmonieusement la meringue sur la tarte à l'aide d'une poche à douille. Utilisez une douille cannelée de 12 ou, mieux, une douille à meringuer.

    12/ Faites dorer la meringue sous le grill pendant 2 minutes. Pendant ce temps, faites boullir 20 cl d'eau de vie de poire dans une petite casserole. Sortir la tarte du four et flamber avec l'eau de vie de poire. Servir aussitôt.

    Le conseil du sommelier :

    - Un porto blanc grande réserve
    -Un double Alcasetzer bien frappé  smileys Forum

    Et bon appétit bien sûr !

    18 novembre 2007

    Métaphysique relationnelle

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    Pourquoi ?

    Pourquoi ai-je un sentiment mitigé de cette soirée qui avait tout pour être agréable mais durant laquelle je me suis contenté de faire bonne figure ? Pourquoi n'ai-je pas réussi à être moi même ?

    Invité par deux amis que j'apprécie assez pour accepter leur invitation et leur faire l'honneur de ma présence à leurs cotés, je devais également à cette occasion revoir Julien et Claire que j'avais perdu de vue depuis de trop longs mois. Pour vous situer le personnage, Julien et moi nous sommes croisés longtemps à la fac sans jamais nous rencontrer et puis un beau jour, par l'entremise de fréquentations communes, nous avons été amenés à nous côtoyer quelques jours. Le contact a tout de suite été bon et 3 mois plus tard il me demandait d'être témoin à son mariage.

    En fait, c'est la présence d'un sixième larron qui est la cause de ce malaise métaphysique. Je ne l'ai jamais vraiment apprécié, pour partie en raison de son coté pathétiquement paternaliste, pour partie en raison de son hermétisme à se dévoiler le plus simplement du monde et à cacher derrière une emphase inappropriée les vicissitudes de son existence au demeurant aussi peu rebondissante que celle de nous tous. Quelqu'un d'une étanchéité telle qu'il m'est rigoureusement impossible de dresser un simple portrait robot de ce qu'il aime et de ce qu'il n'aime pas...

    Guillaume, puisque tel est son nom, je ne l'avais pas revu depuis assez longtemps pour me dire que ce n'avait été qu'une rencontre parmi d'autres et que la page était tournée ; que lui et son groupe d'amis, avec lesquels je n'ai jamais vraiment pu avoir d'accroche intellectuelle intéressante, faisaient partie du passé, et que jamais plus je ne serai convié à une des ces soirées insipides durant lesquelles on est contraint de discuter avec tout le monde et de faire le gentil alors qu'on n'en a rien à cirer et que l'on sent pertinemment que cela est réciproque. Un univers dans lequel on ne se sent pas à sa place malgré quelques bon moments. 

    Mais à présent j'ai vraiment envie de n'être qu'avec des gens auprès desquels je me sens bien, sans fioriture, en toute simplicité, sans prise de tête (il y en a, rassurez vous). Parce qu'il y a certaines personnes avec lesquelles on n'a pas envie de parler de soi ouvertement, de raconter sa vie, de partager certaines choses, tout simplement parce qu'on n'a pas envie, sans chercher plus loin. Les gens avec qui le feeling est bon ne posent pas ce genre de difficulté.

    En revoyant Guillaume ce soir, inchangé, si ce n'est quelques kilos de plus, et égal à lui même, c'est, symétriquement, tout cet arrière plan que j'ai volontairement et méticuleusement fuit - ce qui m'avait effectivement permis de me dépêtrer de ce lisier à force de silences ou de refus systématiques des sollicitations qui m’étaient adressées - qui a rejailli et refait surface. D'ailleurs il veut déjà que l'on se revoit à l'occasion du retour d'un autre ami, actuellement émigré en chine et qui doit faire halte à Toulouse en décembre. 

    Je sais déjà que je n'irai pas.

    Rien ne m'oblige à donner une suite à cet épisode. Non, rien. Il n'y a pire sourd qui ne veut pas entendre...

    Alors que le feu menace de renaître de ses cendres, il pas besoin d'y apporter du bois pour qu'il se ravive.

    Peut être me trouverez vous dur, méchant, cynique, et m'adresserez quelques vifs reproches sur la méthode ou la démarche.

    Peut être...
    De toutes façons, peu importe...

    16 novembre 2007

    Quelques zâneries

    2 commentairess
     

    Un petit pétage de plombs en guise de billet du jour.

     

    AVERTISSEMENT :

     

    - Nous nous excusons auprès de nos chers lecteurs pour le profond sentiment de consternation qui pourrait vous envahir à la lecture des lignes qui vont suivre.

    - Ne pas administrer aux personnes sensibles

    - Convient aux femmes enceintes

    - Protège la couche d'ozone

    - Ce billet n'est pas issu de l'agriculture biologique

    - Ce billet est conforme à la norme A-457c bis §4-2alinéa 7 et 8 de la Convention de New York


    Le chat miaule

     

    Le chien aboie

     

    La fourmie croonde

     

    La pie rolyse

     

    Le rat vit au lit

     

    L'ara s'casse

     

    Le mérou pête

     

    Vous étiez prévenus.

     

    Et n'oubliez pas le grand concours Glukxonnien jusqu'au 25 décembre !

     

     

    12 novembre 2007

    Tous les prétextes sont bons...

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    Ce soir je n'avais pas envie de travailler.

     

    Je suis CREUVE ! J'ai certes eu un week-end comme la plus part d'entre vous, mais il fut particulièrement dense, enchaînant les soirées (celle de vendredi a laissé de lourdes séquelles... celles (si si, je mets au pluriel) de samedi un peu moins... mais quand même, tout cumulé, ça fait pas beaucoup d'heures de sommeil...), un peu d'opéra par ici, deux messes à jouer par là, repas chez popâ moman le samedi et le dimanche midi... Bref, si j'aime glander, ce n'est pas de façon oisive. Mes journées sont tout sauf vides ! Et aujourd'hui je me suis enquillé 6 heures de cours en compagnie d'étudiants on-ne-peut plus vivant qu'il faut canaliser comme des primaires ; éprouvant ! Pour tout dire, j'ai même hésité à me rendre à la salle de sport, mais quand même, si, allez, zou, on passe devant donc on s'y arrête et on va transpirer bien sagement.

    Mais tout de même, j'avais pas envie de bosser ce soir. Il me manquait juste un bon argument, un bon prétexte.

     

    Un brin de bonne conscience me poussait malgré tout à ne pas sombrer dans une oisiveté morbide et j'envisageai (l'instant de quelques minutes d'égarement) de corriger des copies, les 5 ou 6 de la journée. Rien de mortel ni d'insurmontable.

    Fort de cette bonne résolution, je prenai le chemin du retour qui me conduirait de la salle de sport jusqu'à mon petit chez moi douillet.

    Après avoir préparé une rapide salade de fenouil et mis des gigolettes de lapin à cuire en compagnie de quelques navets et d'un verre de fond de veau, histoire que tout ça se sente à l'aise dans la cocotte, je m'installai sur le canapé, consultais mes mails et écoutais la météo télévisée.

    Un rapide tour d'horizon du net, consultation d'un blog par ici, du Monde par là, puis j'ouvrai malencontreusement la page consacrée au programme TV du soir, me demandant avec lassitude (déjà !) de quelles insipidités télévisuelles mes concitoyens allaient s'abreuver alors que je m'affererais à mes scribouillages pseudo-juridiques.

    Je passai assez rapidement sur TF1, France 2, France 3, Canal +, la 5°, lorsque mon attention  fut stoppée nette sur Arte... Noooon ! J'y crois pas ! Ce soir est diffusé un de mes films cultes : "2001 l'odyssée de l'espace".... Déontologiquement je ne peux pas ne pas regarder...

    Ha bé, tient, le voilà mon prétexte pour pas bosser ! Et celui là il est en béton armé...

    Alors... hop !

     

    On peut résister à tout, sauf à la tentation.

    Moi, je me fais pas prier !

    9 novembre 2007

    Tant va le staracadémicien à l'eau qu'à la fin il nous les brises

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    Depuis quelques semaines...
    ...ça a recommencé...
    ...et ca va encore durer.

    Nous sommes vendredi soir et déjà dans les foyers de nos chers contemporains, peut être même chez quelques uns de nos lecteurs, la petite lucarne est en mode "on" sur la première chaine de télévision française, TF1, pour suivre avec l'assiduité d'un bon élève, les aventures trépidantes d'anonymes dont le seul objectif pour les semaines à venir consiste en un challenge hors norme : remporter la Star Académie.

    Oui, cela fait déjà la 7° année consécutive que TF1 réédite l'exploit de nous abreuver de jeunes braillards dont l'ambition démesurée est souvent inversement proportionnelle à leur talent.

    Hier soir, après ma séance de correction de copies qui m'a conduit à une heure avancée de la soirée (mon horloge affichait "00:48" lorsque je levais le nez après avoir mis un poiint final à ma corvée), je décidais de faire un ptit tour d'horizon télévisuel avant d'aller rejoindre morphée. Ma télé s'est directement allumée sur la première chaine qui passait une rediffusion de la quotidienne de la Starac. Et là, j'avoue m'être fait prendre au piège comme un lapin de dernière couvée : j'ai regardé.

    Pour ma défense, je plaiderai une intense fatigue physique et intellectuelle et les rares neurones encore en activité n'ont pas suffit à me faire rebrousser chemin. Je m'affalais donc passivement dans mon canapé et subissais, impuissant, les flots d'images staracadémiesques qui finissaient de me lobotomiser. Je m'attendais à un ennui profond pour ne rien vous cacher mais fus agréablement surpris.
    Non, non, les candidats n'ont pas débattu de la critique de la pensée Kelsenienne ni même abordé la très interessante question des droits de l'homme baffoués à Dubaï au nom d'une honteuse vérité officielle. Non, rien de tout cela... Le jour où TF1 fera concurrence à Arte n'est pas encore arrivé, et il n'y a aucun risque à affirmer sans retenue que ce n'est pas demain la veille.

    Mais alors, qu'est-ce qui a pu rendre cette émission si interessante pour l'auteur de ces lignes, cet être admirable dont les hauteurs intellectuelles ne font aucun doute ? (méééééééééheeeeeu.... )

     Hé bien, deux séquences d'une violence rare ont suffit à mon bonheur. Tout d'abord, un coup de bec asséné par le prof de sport qui, énervé par les absences chroniques de certains candidats aux cours qu'il dispense, leur a laché en pleine gueule " Vous êtes une bande de petits cons ". Pas moins... Violent, frontal, sans concession. Jouissif !
    Quelques minutes plus tard c'était au prof de chant, une espèce de nounours placide et paternel qui, lui aussi exacerbé par l'attitude des candidats leur a simplement dit " vous me gonflez... " sans esquisser le moindre sourire pacificateur. Nettement moins choc, moins cru, mais dans sa bouche cela semblait être, dans son échelle de Richter à lui, d'une magnitude exceptionnellement élevée, frisant la masse critique.


    Hé oui, car ils sont nombreux à s'estimer les élus d'un processus médiatico-mercanle titanesque dont ils ne sont qu'un pion sans importance, intervertible, jetable et remplaçable ad nutum,  et dont personne ne se souviendra d'ici quelques mois, retournant invariablement dans l'anonymat duquel ils n'auraient jamais dû sortir. En attendant ils nous cassent les couillles et les oreilles !

    Certes, je ne suis pas obligé de regarder ni d'écouter... oui... c'est vrai. Mais un petit coté sadique chez moi me conduit inconsciemment vers ce programme que j'adore détester. Allez comprendre !

    6 novembre 2007

    Blagounette du jour

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    Une petite blagounette, en fait une devinette, bien bien nulle...

     


    - Quelle est la capitale de Tamalou ?

    - Gébobola.

    Oué.... affligeant n'est il pas ...?

     

     

    Et hop, une seconde pour la forme :

     


    - Comment en afrique appelle-t-on un nain qui porte une croix ?

    - Un nain powte cwoi.

     

    Même pô honte !

     

     


    Tûûûûûûûûûût.......

    ........tûûûûûûûûûûûût......

    ........tûûûûûûûûûûûûût......

     

    3 novembre 2007

    Le boulet

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    Un boulet me direz-vous ?

    On en a tous un... si si si... cherchez un peu. Je suis même certain qu'à la simple évocation du mot "boulet", rejaillit instantanément de votre inconscient le nom d'une au moins de vos connaissances, voire, pire encore, d'un de vos amis.

    A quoi reconnait-on un boulet ?

    Quelques rappels lexicographiques tout d'abord.

    Au sens premier, le boulet désigne le projectile sphérique d'artillerie, en pierre ou en métal, utilisé avant l'invention de l'obus. A s'en tenir à ces premiers éléments, hormis les effets désastreux du boulet sur notre moral, cette définition ne nous aide pas des masses.

    Dans un sens figuré, le boulet désigne la peine infligée aux forçats condamnés à traîner un lourd boulet attaché à leurs pieds par une chaîne. Nous y voici !

    Dans un sens méthaphysique, le boulet désigne une contrainte, obligation pesante empêchant l'épanouissement de l'être. De plus en plus intéressant n'est-ce pas ?

    Divers éléments permettent d'identifier notre boulet.

    Le premier consiste en sa faculté hors du commun à vous saouler en un temps record par une conversation brillante qui tourne souvent à l'insipide et dont vous n'avez probablement rien à cirer. Pèle-mèle, et en ce qui concerne celui dont je m'affuble périodiquement par pure bonne conscience judéo-chrétienne, il s'agit invariablement (dans le désordre) de son salaire/de son augmentation, de ses RTT et de ses week-end avec pôpa môman dans le gers à tailler les rosiers (NDLR : notre boulet est un presque trentenaire), de son prochain week-end dans le périgord chez son arrière grand cousine par alliance au 8° degré qui cultive des renoncules jaunes, de la "petite" - comprenez sa nièce qui a je-ne-sais-plus-quel-âge-et-dont-je-me-fous-éperduement, que je n'ai jamais vue sinon en photos dont je me fous comme de ma première couche - et enfin des derniers potins du PS sur l'UMP. Oui parce que le boulet est féru de politique, surtout quand les arguments lui tombent tout cru du ciel et qu'il n'est pas besoin d'esprit critique pour se forger sa propre opinion des choses. 

    Autre sujet de prédilection du boulet (enfin, surtout du mien) la hausse des taux d'intérêt du Livret A, ou la baisse de la valeur de ses actions EDF qui lui fait perdre des plus-values non indexables sur les 4 derniers mois... Tout l'art du combat dans ce genre de situation tient en une endurance hors du commun et une capacité d'abnégation digne d'une béatification immédiate. Toute rencontre avec notre boulet recèle conséquemment des vertus expiatoires redoutables, tellement puissantes que même l'église catholique s'est refusée à les employer contre les hérétiques et relapses qui ont jalonné l'histoire de la chrétienté dès l'aube des premiers siècles. En principe, tout contact avec la bête vous conduit rapidement à une humiliation publique qui justifierait à elle seule un changement de sexe pour raison thérapeutique ou une demande d'asile politique au Liberia, ou à coté desquelles broyer un bloc de granit d'une tonne à l'aide d'un cure dent devient une activité follement distrayante.

    Autre caractéristique de notre boulet : ses goûts de chiotte. Je ne prétends pas détenir les clés de l'esthétisme absolu, loin de là, mais revendique une certaine conception du bon goût. Je me souviens il y a un an, de passage dans l'appart de mon boulet, avoir discuté déco quelques (trops longs) instants... et mon boulet - que j'appellerai Alfred pour les besoins de la cause ( j'aurai pu vous dire qu'il s'appelle Cédric, mais là ce serait pas cool du tout parce que ce serait son vrai prénom...) - Alfred-Cédric donc de me dire "Ah oué, j'adore le mobilier contemporain, comme ma table basse"... 

    Alors, pour vous situer, ladite table basse en fer forgé cérusé vert et plateau en verre, est aussi contemporaine que peut l'être du mobilier conforama. En fait, je pense après réflexion que dans son esprit, est contemporain tout ce qui a  été réalisé après le style régence... A mon avis, il n'est même pas envisageable de lui suggérer que le mobilier de LeCorbusier est maintenant somme toute classique, ou encore de lui faire découvrir Starck et ses accolytes. Quant à lui montrer des photos du Guggenheim de Bilbao...  son cerveau n'est pas encore prêt, sauf à le tuer net (LA solution me direz vous ?).

    Autre argument plaidant en sa défaveur artistique, son inconsistance musicale totale...  Confondre Cécilia Bartholy et Arielle Dombasle vous y croyez ? Non hein ? Et pourtant... Connaissant mes goûts musicaux et notamment pour la musique classique, Alfred me sortit un beau jour : "Houlà, j'ai acheté un CD hier à la FNOUC, c'est génial ! Faut absolument que je te fasse écouter !!". Je lui demandais "Heu... c'est quoi ?" et lui, avec son enthousiasme de gamin de 5 ans et arborant le sourire diforme dont il détient le secret, articulant son cou tordu entre ses épaules osseuses me répondit "Ben tu verras !". 

    Le lendemain, il débarque à la fac avec son balladeur CD et, entre deux cours, insiste pour me faire écouter la chose. Il me passe les écouteurs et lance sa piste favorite. Aussitôt mes tympans sont agréssés par une cohorte de vociférations aussi insoutenables les unes que les autres, auxquelles se mèlent des rythmes aux accents vaguement techno honteusement commerciaux... Je m'empare du lecteur et m'empresse de cliquer sur "suivant"... Le répis ne fut que de courte durée (en fait le silence entre 2 plages). 

    Je parcourai le CD en sautant de plage en plage, n'écoutant à chaque fois que les toutes premières secondes du massacre perpétré par un bourreau sans coeur ni voix (quant à parler de talent... je n'ai pas cette effronterie). Mon boulet, qui ne m'avait pas quitté des yeux une seconde, et toujours ce même rictus grimaçant aux lèvres, me demande, le regard pétillant : "Alors ..?" espérant sûrement que j'abonde dans le sens de ce qu'il concevait comme l'aboutissemet suprême de ce dont le génie humain était capable. Ma réponse fut, je le crains, un brin cynique, voire ironique (le lecteur de ces lignes n'en sera qu'à moitié étonné) et je pus lire dans ses yeux, non sans délectation, la déception qu'éprouve un petit enfant lorsque son grand cousin plus âgé lui révèle par pure méchanceté que le père noël n'existe pas... 

    Mais, comment se débarrasser d'un boulet ?

    1/ Certains ont mis au point une technique simple à base de napalm concentré : imbibez le boulet puis proposez lui une clope... Très pratique en hiver, veillez à réaliser loin de tout espace boisé comprenant des conifères (risques d'incendies de forêts).

    2/ La noyade. Toujours efficace. Compter 0,5 Kg de lest par Kg de poids de corps. Le point d'eau doit être assez profond (2 mètres au moins).

    3/ le petit coup derrière la nuque... rapide, indolore. Un grand classique.

    4/ le "je préfère-pas", communément adpotée par un ami radiologue. Consiste à décourager passivement l'adversaire par un refus systématique de toute rencontre. Présente l'inconvénient majeur de ne pas éviter les coups de téléphone inutilement rasoirs.

    5/ Bob, tueur à gage réputé de la ville rose. Fait payer néanmoins assez cher ses prestations. Discrétion assurée.

    6/ l'affrontement direct : lui dire frotalement ses 4 vérités... inconvénient : demande une certaine dose de courage et de cruauté.

    Pour conclure, il est une question à laquelle je n'ai toujours pas de réponse : pouquoi s'accroche-t-il ? Que se passe-t-il dans la tête d'un boulet pour qu'il s'obstine à ce point à nous pourrir la vie avec la meilleure volonté du monde et le plus grand désintéressement ? J'avoue mon impuissance face à cette énigme insondable de l'esprit humain... Je ne me perdrai pas en conjonctures. A l'impossible nul n'est tenu !