... mieux ça passe.
Après avoir subi un hiver particulièrement rude de l'aveu même des Québécois les plus endurcis - nous avons encore eu une tempête de neige dimanche dernier ! - voici que commencent à poindre les premiers jours d'un véritable printemps. Enfin !
Vous pensez bien que face à un tel spectacle, ce n'est pas maintenant que j'irai travailler dans l'une des zones les plus hostiles, climatiquement parlant, de la planète. Non, vraiment, je vous assure, le froid pôlaire à congeler un orignal sur place les trois-quart de l'année, ce n'est pas pour moi.
Franchement, si joli que puisse être le Vanuantu, je ne me vois pas vraiment affronter de la neige jusqu'au mois de juin et une température moyenne de +15°C en été. Moi qui vient d'une région où le soleil est roi.
Et puis, Iqualut, dont le nom signifie « les poissons » en inuktitut, ça aurait pourtant dû vous mettre sur la piste...
Seriously...
Oui, voici poindre le joli printemps. Pouvoir sortir sans cass' de pwoêl (comprenez : chapeau en fourrure), ni gants ni écharpe est un luxe dont je savoure la volupté. Partout la glace hivernale fond goutte à goutte au soleil. Les rues bruissent du chant cristalin de mille filets argentés qui s'écoulent en fins ruisseaux serpentant entre les autos.
Même les écureuils sont sortis de leur cachette et commencent à galoper jovialement d'arbre en arbre, utilisant les câbles électriques pour enjamber les routes. Je ne me lasse pas de les observer ces petite bêbêtes.
Vivement que les arbres se couvrent enfin de bourgeons et de fleurs qui, paraît-il, rendent la ville de Montréal si agréable à la belle saison.
Oui, vivement !
Après avoir subi un hiver particulièrement rude de l'aveu même des Québécois les plus endurcis - nous avons encore eu une tempête de neige dimanche dernier ! - voici que commencent à poindre les premiers jours d'un véritable printemps. Enfin !
Vous pensez bien que face à un tel spectacle, ce n'est pas maintenant que j'irai travailler dans l'une des zones les plus hostiles, climatiquement parlant, de la planète. Non, vraiment, je vous assure, le froid pôlaire à congeler un orignal sur place les trois-quart de l'année, ce n'est pas pour moi.
Franchement, si joli que puisse être le Vanuantu, je ne me vois pas vraiment affronter de la neige jusqu'au mois de juin et une température moyenne de +15°C en été. Moi qui vient d'une région où le soleil est roi.
Et puis, Iqualut, dont le nom signifie « les poissons » en inuktitut, ça aurait pourtant dû vous mettre sur la piste...
Seriously...
Oui, voici poindre le joli printemps. Pouvoir sortir sans cass' de pwoêl (comprenez : chapeau en fourrure), ni gants ni écharpe est un luxe dont je savoure la volupté. Partout la glace hivernale fond goutte à goutte au soleil. Les rues bruissent du chant cristalin de mille filets argentés qui s'écoulent en fins ruisseaux serpentant entre les autos.
Même les écureuils sont sortis de leur cachette et commencent à galoper jovialement d'arbre en arbre, utilisant les câbles électriques pour enjamber les routes. Je ne me lasse pas de les observer ces petite bêbêtes.
Vivement que les arbres se couvrent enfin de bourgeons et de fleurs qui, paraît-il, rendent la ville de Montréal si agréable à la belle saison.
Oui, vivement !
Une nouvelle version de "Tous à poil(s)" ?
RépondreSupprimerTu veux jouer ? :D
SupprimerPeux pas, j'ai fait l'entretien des gambettes ;-)
SupprimerPlus c'est gros, mieux ça passe .........:):):):)
RépondreSupprimer--> [..]
SupprimerL'écureuil est adorable à regarder mais la photo suivante également ^^
RépondreSupprimerPlein de poils, c'est mignon tout plein :) Hein une fleur ??? Où ça ? :D
Ha oui tiens j'avais pas remarqué moi non plus :D
SupprimerMince alors, j'y avais cru! :) Bon je suis content de voir que chez toi, les "Clapotas" sont gris...comme le mien! Tout le monde voudrait que le mien soit roux, bin non là il est gris, il a du prendre l'avion! :)
RépondreSupprimerEn effet les écureuils de Montréal sont gris et leur morphologie est un peu différente de celle des écureuils roux. Je crois qu'ils sont un peu plus trappus. Tu crois que ca se mange ?
Supprimerc'est "du rat", donc ça doit être fin.....! :)
SupprimerJe m'étais dit "mais comment va-t-il faire, lui qui vient d'une ville au climat si doux et ensoleillé ?..." Il y avait quelque chose d'anormal dans ton récit mais j'avoue que je n'avais pas vu venir l'iqualut, trop subtil pour moi :)
RépondreSupprimerIci aussi le printemps revient et ce n'est pas pour déplaire aux parisien(ne)s qui se ruent sur les terrasses. Ah la belle saison...
Au poil
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