Encore ces rêves étranges qui viennent perturber mon sommeil. Ce matin je me suis réveillé aussi fatigué que la veille au soir.
Cette nuit j'ai rêvé que je tondais la pelouse chez mes parents, un tiède soir d'été, sur un terrain en forte pente qui n'existe pas dans la réalité. Au détour d'une touffe d'herbes hautes, je découvre un genre de gros aigle blanc camouflé dans un nid creusé à même le sol. Il me regarde, je vois ses yeux perçants, et son bec pointé en ma direction, sans agressivité immédiate.
L'instant d'après, le gros oeuf qu'il devait être en train de couver est éclos. Un poussin, paré ce qui lui tient lieu de premières plumes, se tient déjà debout, à peine extrait de son sarcophage ivoire. Un moineau passe à proxitimé du nid. L'aigle blanc s'en saisit et aussitôt commence à le déchirer à coups de bec. Le sang perle à travers les plumes qui lui recouvrent la tête. Je ne suis même pas attristé du sort de ce pauvre animal dévoré vif.
Je continue à tondre la pelouse, en songeant à cet examen qui m'attend demain à l'université et pour lequel je n'ai pas assez travaillé. Une angoisse m'étreint. La même que celle qui s'emparaît de moi à la veille de mes interros de maths.
Malaise.
La conversation d'hier soir avec un eustie de gros cave n'y est certainement pas pour rien. M'entendre dire grosso-modo que mon parcours universitaire est à l'opposé de toutes les valeurs capitalistes du Canada, n'aide pas à garder l'optimisme que je m'efforce de cultiver, contre vents et marées. Je ne sais même pas s'il a eu conscience d'être blessant.
Mes angoisses du moment s'expriment comme elles le peuvent...
L'instant d'après, le gros oeuf qu'il devait être en train de couver est éclos. Un poussin, paré ce qui lui tient lieu de premières plumes, se tient déjà debout, à peine extrait de son sarcophage ivoire. Un moineau passe à proxitimé du nid. L'aigle blanc s'en saisit et aussitôt commence à le déchirer à coups de bec. Le sang perle à travers les plumes qui lui recouvrent la tête. Je ne suis même pas attristé du sort de ce pauvre animal dévoré vif.
Je continue à tondre la pelouse, en songeant à cet examen qui m'attend demain à l'université et pour lequel je n'ai pas assez travaillé. Une angoisse m'étreint. La même que celle qui s'emparaît de moi à la veille de mes interros de maths.
Malaise.
La conversation d'hier soir avec un eustie de gros cave n'y est certainement pas pour rien. M'entendre dire grosso-modo que mon parcours universitaire est à l'opposé de toutes les valeurs capitalistes du Canada, n'aide pas à garder l'optimisme que je m'efforce de cultiver, contre vents et marées. Je ne sais même pas s'il a eu conscience d'être blessant.
Mes angoisses du moment s'expriment comme elles le peuvent...
J'ai tapé ton "insulte" sur google et je suis arrivé sur un blog du Québec! T'as tout bien appris! Allez Zen,zen zen et tu feras de beaux rêves! :)
RépondreSupprimerOn te verse quoi dans ton verre avant de t'endormir ? !!!!
RépondreSupprimerLe Québec a beau avoir été français, les valeurs sont légèrement différentes, un peu influencées par les Sates voisins, il faudra t'y faire et à mon avis, tu ne feras qu'un bouchée de ce gros cave. Bises
RépondreSupprimerFrançois
Bah, c'te gros cave là l'est tellement qu'il ne réalise pas l'intérêt de la différence, justement. Trop difficile à intellectualiser pour son cerveau de ruminant, probablement...
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