Réalisé par : Colin Trevorrow
Avec : Chris Pratt (Graou !), Bryce Dallas Howard, Nick Robinson
Genre : Reportage animalier, 30 Millions d'amis, Un dîner presque parfait
Durée : Juste ce qu'il faut
Synopsys : Quelque part au large du Costa Rica, sur un île paradisiaque, un riche homme d'affaire décide de rouvrir le Jurassic Parc, malgré la tragédie et le fiasco intégral de la précédente édition qui avait malencontreusement transformé le parc d'attraction en banquet humain à ciel ouvert.
Ha mais c'est que tout a changé ma brave dame. Maintenant les dinos on les mène à la baguette ! Les raptors ? Au doigt et à l’œil ! Des vrais toutous. Qui veut faire un tour à dos de tricératops ?
Mais pendant que tout ce petit monde joue à saute-raptor en mangeant du pop-corn, maman Indominus Rex, recluse seule dans son enclos blindé, s'ennuie à mourir. Elle irait bien pique-niquer dans les champs et croquer du visiteur. Car maman a furieusement envie de se dégourdir les pattes et elle a très très faim...
- Petit petit petit !
GRROOOOOOOOOOOOOARH !
- Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
[Brom... Brom... Brom...]
- Ho, regardez la chèvre !
GRROOOOOOOOOOOOOARH !
[Cronch, cronch, cronch]
- Il est où le dino ?
[Broum... Broum... Broum...]
GRROOOOOOOOOOOOOARH !
- Je crois qu'on a un problème...
- Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
- Où qu'il est Kiki ? Kiki ...?
GRROOOOOOOOOOOOOARH !
[Cronch, cronch, cronch]
- Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!
GRROOOOOOOOOOOOOARH !
L'avis de la rédaction : Présenté en avant-première lors de l'ouverture du 37e Congrès International de Paléontologie d'Innsbruk, où il reçut une standing-ovation soutenue, personne n'attendait rien de ce nouvel épisode consacré à nos amis les dinosaures dont le premier, sorti il y a presque vingt ans, avait connu le succès que l'on sait.
Ce fascinant et très pédagogique reportage animalier au rythme soutenu tout ce qu'il faut, fera pourtant bientôt autorité dans tout Muséum d'histoire naturelle ou Ecole Doctorale de Zoologie Comportementale qui se respecte, tant le réalisme et la crédibilité des situations mettant en scène ces fascinants animaux préhistoriques, sont restitués avec un naturel et une authenticité confondants. Nous sommes bien loin de la mièvrerie approximative et si peu scientifique des productions de seconde zone dont la bienséance nous interdit de citer les noms...
Construit sur le socle d'un intéressant et vibrant réquisitoire contre les manipulations génétiques de tout poil contre lesquelles il s'inscrit en faux, le scénario de Jurassic World ne brille toutefois pas en raison de son originalité, aussi peu renouvelée que la couche d'un grabataire dans un sanatorium tchétchène.
Aussi nous ne dévoilerons rien à la trame intime du film en révélant, non sans surprise, qu'encore une fois les bestioles en captivité vont s'échapper de leur enclos et se mettre à dévorer à peu près tout ce qui leur tombera sous la canine.
Ce fascinant et très pédagogique reportage animalier au rythme soutenu tout ce qu'il faut, fera pourtant bientôt autorité dans tout Muséum d'histoire naturelle ou Ecole Doctorale de Zoologie Comportementale qui se respecte, tant le réalisme et la crédibilité des situations mettant en scène ces fascinants animaux préhistoriques, sont restitués avec un naturel et une authenticité confondants. Nous sommes bien loin de la mièvrerie approximative et si peu scientifique des productions de seconde zone dont la bienséance nous interdit de citer les noms...
Construit sur le socle d'un intéressant et vibrant réquisitoire contre les manipulations génétiques de tout poil contre lesquelles il s'inscrit en faux, le scénario de Jurassic World ne brille toutefois pas en raison de son originalité, aussi peu renouvelée que la couche d'un grabataire dans un sanatorium tchétchène.
Aussi nous ne dévoilerons rien à la trame intime du film en révélant, non sans surprise, qu'encore une fois les bestioles en captivité vont s'échapper de leur enclos et se mettre à dévorer à peu près tout ce qui leur tombera sous la canine.
"Il n'y a pas une grande différence entre un singe et un papillon. En tout cas, il y en a beaucoup moins qu'entre un homme et une femme..." affirmait Georges Wolinski. Parions que sous la dent d'un vélociraptor la différence demeure très négligeable.
En guise de conclusion :
Malgré ses airs de déjà vu, Jurassic World est un divertissement plaisant qui, sans révolutionner sensiblement le genre, vous fera passer un agréable moment. Que demander de plus ?
Note de la Rédaction : GROOOOOARH d'argent.
Brrrwaaaaaaaahhhhhhh !!!!! (traduction : lu, ri et approuvé, Chris Graou Pratt inclus)
RépondreSupprimer**Papillonne des yeux comme un ptérodactyle énamouré**
SupprimerGraou le Chris mais peureux. lol https://www.youtube.com/watch?t=77&v=qfAIO5hB6Ik
RépondreSupprimerHa ha ! J'aurais bien aimé savoir comment tu aurais réagi, toi :D
SupprimerJ'avais déjà envie de le voir, tu m'as donné *encore plus* envie ! Merci !
RépondreSupprimerCours-y ! C'est un bon spectacle. Idéal pour se vidanger les neurones.
SupprimerOn peut manger du popcorn pendant le film ou c'est inapproprié ?
RépondreSupprimerNAN ! Le popcorn pendant le film c'est le mal absolu.
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