Je me suis levé très tôt ce matin. Le changement d'heure me sera à jamais un supplice. Habitué à me réveiller vers six heures depuis un petit moment, mes yeux se sont donc spontanément ouverts une heure plus tôt, tout en ayant parfaitement dormi.
Qu'importe, j'aime pouvoir prendre mon temps le matin et profiter de cet instant de lenteur, cet interstice trouble et si fragile, juste avant que la ville ne s'éveille.
La semaine fut longue, pénible, stressante et globalement désagréable. Il me tardait qu'elle s'achève, même si le repos sera de courte durée. Tout passionnant qu'il soit, mon boulot est loin d'être aussi confortable que ce qu'il paraît. Encaisser, tout et de tout le monde, en permanence, subir une pression constante, devoir prendre de la hauteur et donner le change. À la longue c'est épuisant si l'on ne prend pas de temps pour s'arrêter. Temps que je n'ai pas vraiment eu ces dernières semaines.
Heureusement Novembre compte deux weekends de trois jours qui seront l'occasion d'un peu de relâche. Et à la fin du mois je m'accorde une petite escapade au pays des cigognes, histoire d'aller prendre un bol d'air sur les marchés de Noël dont la date approche doucement.
La semaine fut longue, pénible, stressante et globalement désagréable. Il me tardait qu'elle s'achève, même si le repos sera de courte durée. Tout passionnant qu'il soit, mon boulot est loin d'être aussi confortable que ce qu'il paraît. Encaisser, tout et de tout le monde, en permanence, subir une pression constante, devoir prendre de la hauteur et donner le change. À la longue c'est épuisant si l'on ne prend pas de temps pour s'arrêter. Temps que je n'ai pas vraiment eu ces dernières semaines.
Heureusement Novembre compte deux weekends de trois jours qui seront l'occasion d'un peu de relâche. Et à la fin du mois je m'accorde une petite escapade au pays des cigognes, histoire d'aller prendre un bol d'air sur les marchés de Noël dont la date approche doucement.
Pendant que j'écris ce billet et que doucement s'éteint la nuit, ma radio diffuse une chanson en portugais Meu Primiero Amor que j'apprends être de Lucas Santtana. Harmonies moelleuses, rythme doucement chaloupé, voix en demi teinte empreinte d'une très belle nostalgie. L'instant est parfait.
Au loin déjà rougeoie le ciel sur lequel se dessine la silhouette noire des immeubles familiers. Un chat-minou s'approche et vient se frotter à mon oreille en ronronnant.
Le jour se lève.
Ma vie presque ordinaire.
Ma vie presque ordinaire.
Bonjour, Bonjour ! Je suis depuis quelques temps ton blog, et j'adore tes articles : un peu de toi, et un peu de découverte d'autres horizons. J'espère que tu continueras longtemps ^^
RépondreSupprimerSinon, étant alsacien, si tu as besoin de quelques tuyaux pour ta visite de nos marchés de Noël, je suis à ta disposition !