Un beau début d'après midi d'avril, resplendissant comme ils le sont souvent à Toulouse.
Une terrasse de restaurant, l'ombre nonchalante d'un grand arbre, les oreilles encores emplies de musiques superbes, deux verres emplis de bulles dorées, le sourire malicieux d'une amie que je n'avais pas eu le plaisir de voir depuis longtemps.
Un paquet cadeau du Japon, un Totoro tout neuf à accrocher à mon frigo, sourires complices.
Elle me raconte, je l'interroge, nous partageons. Ses angoisses, mes angoisses, ses doutes, mes doutes, nos expériences, qui se répondent.
Trop de questions qui viennent parasiter mon quotidien de mille tourments inutiles.
Comme bien souvent, face à une difficulté, il n'est meilleur point de vue que celui d'une personne extérieure.
Et puis survint cette petite phrase, venue à point nommé apaiser mes peurs d'abandon, redoutables : alors que je me sens obligé de justifier de mes faits et gestes pour envoyer de signes rassurants à ce garcon, et si, de son côté sa modération était simplement le signe d'une absolue normalité ?
Et puis survint cette petite phrase, venue à point nommé apaiser mes peurs d'abandon, redoutables : alors que je me sens obligé de justifier de mes faits et gestes pour envoyer de signes rassurants à ce garcon, et si, de son côté sa modération était simplement le signe d'une absolue normalité ?
Et tout d'un coup, tout s'est éclairé...
C'est aussi pour cela que j'aime mes amis.
Insérer ici le générique de Friends :-)
RépondreSupprimerEt hop ! :)
SupprimerJe n'en suis qu'au premier texte et je suis déjà conquis par ton écriture mais ce n'est pas un scoop.
RépondreSupprimerJe vais lire les suivants, les savourer et pour faire en sorte que le plaisir dure, je vais devoir lutter contre mon défaut principal, l'impatience.