Dormir... Dormir dix heures d'affilée deux jours de suite, et ne rien faire entre les deux, sinon traînasser dans un plaid devant la télévision à regarder des séries. J'en rêve !
Cela fait presque quatre semaines que je bosse sans vraiment m'arrêter, pas même le weekend.
Des urgences de boulot à gérer jusqu'à vendredi, des copies à corriger, environ 250 en quinze jours... cela fait longtemps que cela ne m'était pas arrivé d'en avoir autant. Des dimanches studieux qui se terminent tard le soir alors qu'il faut se lever tôt le lendemain matin, et encore plus tôt depuis le weekend dernier en raison du passage à l'heure d'été. Non, vraiment, ce changement d'heure est pour moi un désastre sanitaire chaque année. C'est simple, il me faut une semaine pour me mettre dans le rythme et réussir à me lever le matin dans des conditions à peu près normales.
Des urgences de boulot à gérer jusqu'à vendredi, des copies à corriger, environ 250 en quinze jours... cela fait longtemps que cela ne m'était pas arrivé d'en avoir autant. Des dimanches studieux qui se terminent tard le soir alors qu'il faut se lever tôt le lendemain matin, et encore plus tôt depuis le weekend dernier en raison du passage à l'heure d'été. Non, vraiment, ce changement d'heure est pour moi un désastre sanitaire chaque année. C'est simple, il me faut une semaine pour me mettre dans le rythme et réussir à me lever le matin dans des conditions à peu près normales.
Bref, encore quelques jours et mon agenda devrait s'alléger un peu. Ha ben non en fait : la semaine prochaine s'annonce tout aussi chargée. Merde... Quoi qu'il en soit, le weekend qui arrive sera l'occasion d'une hibernation express.
Et puis weekend de Pâques oblige, ce sera certainement l'occasion d'aller manger un bout d'omelette géante (le manging d'omeletting, une activité totalement disruptive dans la Start-Up Nation), histoire de reprendre des forces qui abandonnent mon petit corps fragile. Si seulement j'en ai assez pour me traîner jusque là...