A l'heure où, à l'instar de beaucoup d'entre vous, l'ami Tto fait son sapin et se casse les boules, dans cette euphorie collégiale de guirlandes bariolées, de vitrines multicolores, de fragrances d'épices et de vin chaud, dans une débauche de sentiments mielleux, il me paraît de bon ton d'apporter une touche d'acidité sarcastique salvatrice.
Mon petit caramel au vitriol, dont j'avais déjà parlé en 2010, s'appelle Treevenge, un conte de Noël très second degré, gore tout ce qu'il faut, quelque part entre Massacre à la tronçonneuse et le film de zombie.
Au cœur de l'hiver, le massacre rituel des sapins de noël bat son plein. Découpés, tronçonnés, piétinés, leurs bourreaux ne font preuve d'aucune pitié. Mais derrière leurs épines, la révolte gronde, et la revanche s'ourdit...
Quoique sorti en 2008, multiplement primé, Treevenge, ou la revanche du sapin de noël garou, demeure encore injustement méconnu d'un large public, et c'est bien dommage...
Vous ne verrez plus jamais un sapin de la même façon.
Vous ne verrez plus jamais un sapin de la même façon.
Moralité : préférez le sapins synthétiques -ce qui tombe bien dans pour un billet recyclé-
RépondreSupprimerAutre moralité : on mutile des être vivants dont le cadavre sera emballé dans un sac qui finance une ONG qui équipe des humains mutilés ! Elle est belle l'humanité !
Noël est vraiment une tradition hypocrite.
Je ne suis pas entièrement d'accord avec votre conclusion, Ladec04, mais j'aime beaucoup votre seconde moralité -)
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