Encore une fois, je m'étonne de n'avoir rien vu de ce mois finissant. Déjà octobre s'annonce alors que j'ai à peine eu le temps de laisser septembre s'installer. Et le vertige m'a pris hier en constatant que dans trois mois à peine, Noël sera derrière nous...
A cette course effrénée du temps, sur laquelle je pourrais me lamenter, je réponds au contraire en souriant qu'elle est le signe qu'au moins, je ne m'ennuie pas. Les choix professionnels, que j'ai pu faire il y a un an ont été les bons. Je me sens de mieux en mieux dans ce que je fais et j'y trouve même une certaine forme de satisfaction.
Parallèlement, recevoir à nouveau des manifestations concrètes de confiance de la part d'une vieille et vénérable institution qui croit en mes compétences, a tout pour me réjouir. De fait, je travaille beaucoup, trop peut-être pour pouvoir me consacrer à une forme de vie privée, même si je crois savoir ménager ma vie sociale.
Les plus cigales de mes amis me trouveront certainement trop fourmi, mon rythme m'imposant une certaine rigueur, sans parler d'ascèse. Peu de sorties, par manque de temps, d'envie et parce que je n'ai pas le temps de passer une journée à résorber les conséquences d'une nuit de débauche. Je n'ai - hélas, mais certainement tant mieux - plus vingt ans, ni même trente...
Les plus cigales de mes amis me trouveront certainement trop fourmi, mon rythme m'imposant une certaine rigueur, sans parler d'ascèse. Peu de sorties, par manque de temps, d'envie et parce que je n'ai pas le temps de passer une journée à résorber les conséquences d'une nuit de débauche. Je n'ai - hélas, mais certainement tant mieux - plus vingt ans, ni même trente...
Envie de voyager, également. Probablement en novembre, ou début décembre. Une petite dizaine de jours, vers une destination qui n'est pas encore très déterminée mais, après en avoir discuté, le Monténégro pourrait présenter une piste intéressante. Peu d'heures de vol, un climat agréable même en hiver, un passé riche, une nature luxuriante, une bonne dose de dépaysement. J'aimerais beaucoup à la vérité repartir trois semaines en Argentine et aller à l'île de la Réunion où j'ai de la famille à visiter. Ce sera pour un autre moment. Chaque chose en son temps.
C'est comme cette envie de pitichat qui me taraude à nouveau et dont je ne sais si c'est le bon moment pour franchir le cap. Suis-je assez disponible pour m'occuper d'un p'tit minou ? Il y en a justement quatre à donner dans mon immeuble. Peut-être que je passerai les voir un soir prochain.
Mais pour l'heure je dois clore ce court billet. Ma journée n'est pas encore terminée.
Mais n'avais-tu pas un chat ?
RépondreSupprimerMais si mais si... Depuis mon retour du Québec, il y a 4 ans, elle sévit chez mes parents, où elle avait trouvé refuge et où elle se trouve très bien.
SupprimerTu peux même suivre ses péripéties sur ces différents billets :D
Si tu passes les voir, t'es cuit !
RépondreSupprimerCa, c'est certain ! Je freine des quatre fers pour ne pas appeler le numéro figurant sur l'annonce ^^
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