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  • 13 novembre 2018

    C'est quand qu'on se repose ?

    Cela fait plus de 15 jours consécutifs que je bosse sans m'arrêter. Je voudrais, m'arrêter et profiter un peu, mais la masse de travail fait que je ne peux pas. J'ai passé le weekend dernier au bureau, et celui d'avant également. Je ne prédis pas un meilleur sort à celui qui vient.

    Aujourd'hui à midi j'étais déjà épuisé et je ne tiens le coup que grâce à du sucre sous forme de  chocolat : presque un paquet de Petits Écoliers engloutis cet après midi, et une tablette de chocolat noir à l'écorce d'orange qui aura duré à peine plus de dix minutes hier après midi. Heureusement que, pour ma ligne, j'ai repris un peu le sport.

    Mauvaise organisation ? Peut-être. Mais aussi un mauvais travail d'équipe avec un boulot qui, alors qu'il est connu de longue date dans son contenu et son ampleur, n'a pas été planifié ni réparti au sein de l'équipe depuis septembre. De fait, je suis conduit à bosser en continu pour me remettre à jour dans des domaines que je ne maitrise pas du tout, sans certitude que ce que je fais est nickel chrome. Chaque semaine je suis sur des œufs et je déteste cela. 

    Le tout devrait être bouclé en fin de semaine prochaine, mais à quel prix ? En tout cas il me tarde de venir à bout de cette masse de travail et de pouvoir un peu relâcher la pression. Avant les fêtes qui approchent, ce ne sera pas si mal, vu que je ne prendrai que quelques jours de vacances autour de Noël et que je bosse le 25 et le 26 décembre. 

    Quant au Nouvel An, j'écrivais il y a 10 jours que je n'avais pas envie de le célébrer d'une quelconque manière  et qu'en "ultime pied-de-nez, je crois que, si je le pouvais, je me débrouillerais pour travailler cette nuit-là..."

    C'est désormais chose faite : je me suis collé une astreinte de nuit le soir de la Saint Sylvestre. 
    Je suis peut-être un peu trop dur avec moi-même...

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