Il pleut. J’entends le bruit égal des eaux ;
Le feuillage, humble et que nul vent ne berce ;
Se penche et brille en pleurant sous l’averse.
Le deuil de l’air afflige les oiseaux.
Le feuillage, humble et que nul vent ne berce ;
Se penche et brille en pleurant sous l’averse.
Le deuil de l’air afflige les oiseaux.
R.-F. Sully Prudhomme
Pleurerait-il dans ton coeur comme il pleut sur la ville ? Ou bien l\'écho long et assourdi des violons de l\'automne à présent révolu est-il ravivé par la berceuse mouillée des pluies hivernales ?
RépondreSupprimerAllez, songe que l\'hivers s\'achemine vers sa fin et que l\'été consolera de toutes les averses.
Au violon mes sanglots longs bercent ma peine. J\'ai pris des coups près du colon, j\'ai mal vers l\'aîne.
RépondreSupprimerBobby Lapointe