Il y a tout d'abord ce charmant garçon de passage à Toulouse rencontré en septembre dernier. Je m'étais senti obligé de mettre un coup de frein assez brutal à notre relation en raison de l'absence de convergence de nos sentiments et pour le protéger contre lui-même. Je crois qu'il m'en avait voulu, et je lui en avais voulu aussi de s'être enflammé de la sorte au lieu de laisser cette histoire vivre sa vie.
Malgré tout, au bout de quelques semaines, nous avons repris contact. Nous continuons à discuter, presque comme avant, à ceci près qu'il ne m'affuble plus de petits noms doux en "ito". Il est même revenu passer un week-end à Toulouse en Février, et je dois à mon tour aller lui rendre visite dans quelques semaines, avant qu'il ne rentre définitivement, chez lui, à 6000 kilomètres d'ici. C'est à peu près sûr : nous resterons bons amis. C'est chouette.
Et puis il y a ce mec génial, qui habite aussi l'autre bout de la France, dont je n'ai encore jamais parlé. Nous nous sommes connus il y a deux ans environ, par l'intercession un site de rencontres. Quoique cela paraisse peu ordinaire, nous ne nous sommes vus pour la première fois qu'en fin d'année dernière, à l'occasion d'un week-end. Grâce à Facebook et au téléphone (qui a dit que les réseaux sociaux isolaient les gens ? ) nous avons noué une très forte complicité. De fait, nous ne nous sommes jamais perdus de vue. Je l'aime bien lui. Je l'aime même beaucoup. Et j'ose croire sans trop me tromper que c'est totalement réciproque. S'il n'habitait pas si loin, il pourrait être bien plus qu'un pote... et quelque chose me dit qu'il n'en pense pas moins.
Pour l'instant tout est clair entre nous, on profite. Nous apprécions beaucoup et nous laissons cette histoire vivre sa vie, sans nous poser de questions. Lui aussi, il restera, j'espère...
Dans un tout autre registre, cela fait quelques mois maintenant que j'ai renoué contact avec Lui, ou plutôt qu'il a renoué contact avec moi, dans des conditions, il est vrai, très particulières. Cette reprise de contact m'avait fortement chamboulé, ravivant des souvenirs et des sentiments dont je n'avais alors pas réellement fait le deuil. Depuis, nous sommes toujours en contact. On se SMS de temps en temps pour prendre des nouvelles, on s'appelle, une à deux fois par mois. On parle de tout, de rien, de lui, de moi, on rigole assez souvent. Nous partageons la même complicité qui avait fait, trois ans en arrière, que nous nous soyons si bien entendus. Et franchement, ça me fait plaisir de pouvoir continuer à partager avec lui. Même si aujourd'hui je sais que je ne dois rien attendre de plus qu'une très belle amitié, une amitié qui perdure malgré le temps et la distance qui nous sépare.
La prochaine étape est de se revoir. Il en a envie, il me l'a proposé plusieurs fois. Et j'en ai envie aussi. L'idée me plait beaucoup, et me terrifie à la fois, car je ne sais pas ce qu'elle va produire en moi. Je sais déjà que j'aurai une irrépressible envie de le serrer dans mes bras et de sentir ses bras m'envelopper. Et après ? Vais-je replonger et déprimer à nouveau en me disant que c'était sûrement l'amour de ma vie ? Je n'en sais rien. Peut-être n'éprouverai-je rien de plus que ce que j'éprouve déjà pour lui, une immense affection bienveillante.
Nous n'avons pas encore prévu de date, mais je sais que nous nous reverrons avant l'été. On verra bien ce qu'il se passera. Et tant pis si je me prends une grosse baffe dans la gueule. Au moins, je serai fixé.
Malgré tout, au bout de quelques semaines, nous avons repris contact. Nous continuons à discuter, presque comme avant, à ceci près qu'il ne m'affuble plus de petits noms doux en "ito". Il est même revenu passer un week-end à Toulouse en Février, et je dois à mon tour aller lui rendre visite dans quelques semaines, avant qu'il ne rentre définitivement, chez lui, à 6000 kilomètres d'ici. C'est à peu près sûr : nous resterons bons amis. C'est chouette.
Et puis il y a ce mec génial, qui habite aussi l'autre bout de la France, dont je n'ai encore jamais parlé. Nous nous sommes connus il y a deux ans environ, par l'intercession un site de rencontres. Quoique cela paraisse peu ordinaire, nous ne nous sommes vus pour la première fois qu'en fin d'année dernière, à l'occasion d'un week-end. Grâce à Facebook et au téléphone (qui a dit que les réseaux sociaux isolaient les gens ? ) nous avons noué une très forte complicité. De fait, nous ne nous sommes jamais perdus de vue. Je l'aime bien lui. Je l'aime même beaucoup. Et j'ose croire sans trop me tromper que c'est totalement réciproque. S'il n'habitait pas si loin, il pourrait être bien plus qu'un pote... et quelque chose me dit qu'il n'en pense pas moins.
Pour l'instant tout est clair entre nous, on profite. Nous apprécions beaucoup et nous laissons cette histoire vivre sa vie, sans nous poser de questions. Lui aussi, il restera, j'espère...
Dans un tout autre registre, cela fait quelques mois maintenant que j'ai renoué contact avec Lui, ou plutôt qu'il a renoué contact avec moi, dans des conditions, il est vrai, très particulières. Cette reprise de contact m'avait fortement chamboulé, ravivant des souvenirs et des sentiments dont je n'avais alors pas réellement fait le deuil. Depuis, nous sommes toujours en contact. On se SMS de temps en temps pour prendre des nouvelles, on s'appelle, une à deux fois par mois. On parle de tout, de rien, de lui, de moi, on rigole assez souvent. Nous partageons la même complicité qui avait fait, trois ans en arrière, que nous nous soyons si bien entendus. Et franchement, ça me fait plaisir de pouvoir continuer à partager avec lui. Même si aujourd'hui je sais que je ne dois rien attendre de plus qu'une très belle amitié, une amitié qui perdure malgré le temps et la distance qui nous sépare.
La prochaine étape est de se revoir. Il en a envie, il me l'a proposé plusieurs fois. Et j'en ai envie aussi. L'idée me plait beaucoup, et me terrifie à la fois, car je ne sais pas ce qu'elle va produire en moi. Je sais déjà que j'aurai une irrépressible envie de le serrer dans mes bras et de sentir ses bras m'envelopper. Et après ? Vais-je replonger et déprimer à nouveau en me disant que c'était sûrement l'amour de ma vie ? Je n'en sais rien. Peut-être n'éprouverai-je rien de plus que ce que j'éprouve déjà pour lui, une immense affection bienveillante.
Nous n'avons pas encore prévu de date, mais je sais que nous nous reverrons avant l'été. On verra bien ce qu'il se passera. Et tant pis si je me prends une grosse baffe dans la gueule. Au moins, je serai fixé.
la sève monte,j'ai bien fait de greffer ces jours derniers!:)
RépondreSupprimerLes hommes qui passent Maman
RépondreSupprimerM'envoient toujours des cartes postales
Des Bahamas Maman
Les hommes qui passent tout le temps
Sont musiciens artistes peintres ou comédiens
Souvent.....