un visage,
un sourire Quelques mots échangés,
des rires il me plaît,
je lui plaît,
nous nous plaisons
On se voit
Quand ?
Ce soir. Pourquoi pas.
Pour prendre un verre,
Pour faire connaissance
Et plus si affinité...
Un rendez-vous
On se trouveon se retrouve
Une rue
Un pub anglais
Des fauteuils confortables
On se découvreparoles échangées
librement
sans limites ni retenue
Lui Travail
Moi Famille
Eux Patrie
Nous Et caetera
Ils....
sa main qui cherche la mienne
ma main qui trouve la sienne son sourire
son regard
ses grands yeux noirs
la sensualité de ses lèvres
qui appellent les miennes
la douceur de ses baisers
il me plaît,
je lui plaît,
nous nous plaisons
énormément
Besoin d'un refuge
Silence d'une chambre
des corps qui s'enlacent
sa peau contre la mienne
tendresse infinie
temps suspendu
Parfum de gel douche
il se rhabille
il part Promesse d'une prochaine fois
On s'appelle
A bientôt
Espoir
Vide
Solitude
Le compte a rebours a commencé.
Lui, il va me faire très mal...
Un vide plein de vie d'après....
RépondreSupprimerMais la nature a horreur du vide...
SupprimerEt je ne vois pas comment mieux raconter cela.
RépondreSupprimerIl y a de l'Apollinaire en toi !
Cela fait très longtemps que je n'avais pas écrit de la sorte. Dans le contexte qui est celui de ce billet, trop de mots tuent les mots. Je voulais des impressions plus que des phrases. La forme s'est imposée d'elle même. Et oui, la découverte de Alcools en classe de première (1994 !) fut l'un de mes rares chocs littéraires.
Supprimerc'est très beau ce que tu écrit là, bises et bonne journée
RépondreSupprimerLa journée sera bonne, malgré cette douce mélancolie qui m'embrume un peu l'esprit.
SupprimerDes bises !
Comme Orphéus, on dirait un calligramme d'Apollinaire ton post. Très beau dedans et dehors. :D
RépondreSupprimerMerci. C'est un peu l'idée, mais sans la recherche d'une forme déterminée. J'ai essayé de faire en sorte que les mots se répondent. Comme si on lisait un texte à travers des persiennes.
Supprimer... admiration
RépondreSupprimerFaut pas...
SupprimerC'est beau et triste à la fois, mais j'ai envie de te dire : foin de la douleur qui s'annonce, profite des instants à vivre entre-temps ! Et plutôt que de penser au mal qu'il pourra te faire, pense au bien qu'il peut te faire hic et nunc !
RépondreSupprimerUn bisou.
On verra bien ce qu'il va se passer. Ce matin on s'est écrit, on va se revoir. Ce sera une jolie romance, une histoire éphémère, un peu comme celle que j'ai connue il y a un peu plus de deux ans et que je narrais ici et ici... et dont je me souviens encore.
SupprimerMagnifique billet. Il faut bien qu'une histoire commence par quelque chose et cela me semble un bon début.
RépondreSupprimerPour la fin un peu négative, j'ai envie de citer la dernière phrase de ton précédent billet (Le vieux marchand"): "Les gens seront avec toi comme tu le seras avec eux". Sois optimiste, tu le mérites amplement.
Pour la fin je tiens simplement à rappeler que, dans deux mois, lui restera ici tandis que je m'en retournerai là-bas...
Supprimer"...l'eau verte du canal du midi...et la brique rouge des Minimes... ô mon païs..."
SupprimerDes Bises...
:)
Oups.....oui c'est vrai j'ai un peu sous estimé ce détail spatio-temporel. On est quand même heureux pour toi (et peut être aussi un peu jaloux). :-D
SupprimerC'est plein de douceur et de romantisme.
RépondreSupprimerPour l'avenir, n'anticipe pas. Laisse toi porter par les instants présents.
Et puis un argentin à Toulouse cela ferait un joli titre de roman :)
C'est simplement beau.
RépondreSupprimerComme d'habitude
...
Très original l'architecture de la note :)
RépondreSupprimerJ'ai envide demander pourquoi éphémère bien que j'ai déjà la réponse mais c'est mon coté utopiste qui ressort.
Alors profite jeune homme, profite :)
J'aime beaucoup. Je comprends
RépondreSupprimerMeilleurs vœux pour 2013 (car la vie continue).
Amitiés
Ton poème est vraiment très beau, on le lit comme une voix qui résonnerait dans notre tête. On ne voudrait en retenir que l'essence et pourtant on s'attache à l'auteur et à la lecture des commentaires, on lui souhaite de retrouver cet amour fugitif et de profiter des rares instants que vous vous offrirez !
RépondreSupprimerhaha ! Mais c'est dommage pour le compte à rebours. Des fois c'est le mieux. Juste une nuit.
RépondreSupprimerT'es limite quand même ! je m'explique sublissime billet on voit, non on ressent, je sais pas , en fait t'a pris un pied pas possible et tu sais quoi, on est heureux pour toi, car t'es un mec bien. Profite du moment.........
RépondreSupprimerVis le présent, surtout quand il te fait des cadeaux comme celui-ci que tu as bien joliment partagé avec nous.
RépondreSupprimerDes bises
Qui sait?
RépondreSupprimerMais même si c'est limité dans le temps,il te restera le souvenir de ces moments de tendresse infinie. ^^