Parce que les dernières études démontrent que l'épidémie ne recule pas.
Parce qu'entre 2003 et 2013, les cas de séropositivité chez les jeunes hommes de 18 à 24 ans, nés en France, ayant des rapports homosexuels, ont progressé de 157%.
Parce que l'on a cru, à tort, que c'était une histoire ancienne.
Parce que le drame continue et qu'avec lui s'annoncent les larmes à venir.
Parce que cela peut t'arriver, à toi, à ton pote, à moi, à ta sœur, à ta meilleure amie...
Parce que l'objectif du zéro-contamination est encore devant nous.
Restons vigilants.
Eh voui ! :-(
RépondreSupprimerVoui voui ....
RépondreSupprimerEn tant que professionnel de santé, j'ai envie de dire que, personne n'est à l'abri ; il faut arrêter de croire que le pire n'arrive qu'à nos voisins !
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