1/ Manger une crêpe au Nutella. Je mange rarement du Nutella. Je mange rarement des crêpes. Le croisement des deux est la conjonction de deux raretés. Et c'est si bon !
2/ Passer une soirée entière à lire. Sans que la télé, divertissement facile, ne soit allumée. Une soirée canapé avec un fond de radio, probablement emmitouflé dans un plaid, les chats-minous blottis contre moi. J'ai entrepris au commencement de mes vacances, la lecture d'un ouvrage fabuleux que m'avait conseillé un ami il y a quelques années. La part de l'autre, qui raconte en un récit croisé, la vie de Adolf Hitler telle que nous la connaissons et telle qu'elle aurait pu être s'il avait été reçu au Beaux Arts. Je recommande.
3/ Aller rendre visite à la citée médiévale de Carcassonne. La vieille dame de pierres. J'aime me promener le long de ses remparts en imaginant les batailles auxquelles ils ont pu assister et dont les livres d'histoire ont oublié le nom.
4/ Organiser un dîner à la maison. Cela fait un sacré bout de temps que je n'ai pas passé un après-midi entier aux fourneaux pour des convives. Bien que cela soit épuisant, expectative du plaisir forme toujours de jolis moments.
5/ Aller marcher dans la neige. Toulouse est bien avare en flocons. Si je suis un grand amateur de la montagne, je ne suis pas un grand amateur des sports d'hivers. Le ski, la foule des pistes et l'attente aux remontées mécaniques, me barbent au plus haut point. Fidèle à mes amours premières et à mes besoins contemplatifs, c'est à pied, dans la solitude d'un sentier se déroulant sous mes pas qu'elle m'est la plus agréable. Cela est également valable avec des raquettes aux pieds.
6/ Rendre visite aux copains lyonnais. Et il y en a beaucoup, que je vois trop rarement à mon goût.
7/ Cuisiner un coq au vin. Cela fait des années que je n'en ai pas préparé. C'était l'un des plats préférés de mon grand père. Mets de fête idéal pour les grands repas familiaux de la Toussaint et souvent de mise aux alentours de Noël, c'était un des plats que ma grand-mère cuisinait toute une journée sur son fourneau à bois. J'en garde des souvenirs formidables. Une idée qui va de pair avec la n°4...
8/ Prendre un bain avec des huiles essentielles. Certes ce n'est pas écolo du tout. Mais... c'est tellement agréable.
9/ Manger une coupelle de chantilly fraîche. C'est l'un de mes plaisir coupables les plus régressifs. J'adore la chantilly, faite maison, avec de la crème entière à 35% ou 40% et juste une pointe de sucre. Ne me demandez pas pourquoi. C'est comme ça. Et si, avant de la battre, vous ajoutez de la pâte de pistache à votre crème, l'orgasme culinaire est à portée de petite cuillère.
10/ Frotter le museau d'un cheval. J'aime beaucoup les animaux en général (pas seulement cuits) et j'aime beaucoup les chevaux en particulier. Les chawals. Je crois que j'aime leur intelligence et leur sensibilité en même temps que leur folie chawalesque. C'est parfois un peu fifou un cheval. Et très malin. Lorsqu'en me promenant j'en croise un dans un pré, je m'approche toujours de la clôture pour voir s'il vient vers moi puis essayer de lui frotter le museau et de lui donner une poignée d'herbe fraîche à brouter. Tiens, j'avais déjà écrit sur ce sujet en 2010. Le dernier vu dans ce cas de figure l'été dernier, ne s'était, hélas, pas montré très coopératif...
2/ Passer une soirée entière à lire. Sans que la télé, divertissement facile, ne soit allumée. Une soirée canapé avec un fond de radio, probablement emmitouflé dans un plaid, les chats-minous blottis contre moi. J'ai entrepris au commencement de mes vacances, la lecture d'un ouvrage fabuleux que m'avait conseillé un ami il y a quelques années. La part de l'autre, qui raconte en un récit croisé, la vie de Adolf Hitler telle que nous la connaissons et telle qu'elle aurait pu être s'il avait été reçu au Beaux Arts. Je recommande.
3/ Aller rendre visite à la citée médiévale de Carcassonne. La vieille dame de pierres. J'aime me promener le long de ses remparts en imaginant les batailles auxquelles ils ont pu assister et dont les livres d'histoire ont oublié le nom.
4/ Organiser un dîner à la maison. Cela fait un sacré bout de temps que je n'ai pas passé un après-midi entier aux fourneaux pour des convives. Bien que cela soit épuisant, expectative du plaisir forme toujours de jolis moments.
5/ Aller marcher dans la neige. Toulouse est bien avare en flocons. Si je suis un grand amateur de la montagne, je ne suis pas un grand amateur des sports d'hivers. Le ski, la foule des pistes et l'attente aux remontées mécaniques, me barbent au plus haut point. Fidèle à mes amours premières et à mes besoins contemplatifs, c'est à pied, dans la solitude d'un sentier se déroulant sous mes pas qu'elle m'est la plus agréable. Cela est également valable avec des raquettes aux pieds.
6/ Rendre visite aux copains lyonnais. Et il y en a beaucoup, que je vois trop rarement à mon goût.
7/ Cuisiner un coq au vin. Cela fait des années que je n'en ai pas préparé. C'était l'un des plats préférés de mon grand père. Mets de fête idéal pour les grands repas familiaux de la Toussaint et souvent de mise aux alentours de Noël, c'était un des plats que ma grand-mère cuisinait toute une journée sur son fourneau à bois. J'en garde des souvenirs formidables. Une idée qui va de pair avec la n°4...
8/ Prendre un bain avec des huiles essentielles. Certes ce n'est pas écolo du tout. Mais... c'est tellement agréable.
9/ Manger une coupelle de chantilly fraîche. C'est l'un de mes plaisir coupables les plus régressifs. J'adore la chantilly, faite maison, avec de la crème entière à 35% ou 40% et juste une pointe de sucre. Ne me demandez pas pourquoi. C'est comme ça. Et si, avant de la battre, vous ajoutez de la pâte de pistache à votre crème, l'orgasme culinaire est à portée de petite cuillère.
10/ Frotter le museau d'un cheval. J'aime beaucoup les animaux en général (pas seulement cuits) et j'aime beaucoup les chevaux en particulier. Les chawals. Je crois que j'aime leur intelligence et leur sensibilité en même temps que leur folie chawalesque. C'est parfois un peu fifou un cheval. Et très malin. Lorsqu'en me promenant j'en croise un dans un pré, je m'approche toujours de la clôture pour voir s'il vient vers moi puis essayer de lui frotter le museau et de lui donner une poignée d'herbe fraîche à brouter. Tiens, j'avais déjà écrit sur ce sujet en 2010. Le dernier vu dans ce cas de figure l'été dernier, ne s'était, hélas, pas montré très coopératif...
Et vous, quel est ce petit plaisir que vous vous êtes refusé depuis longtemps ?