• A propos
  • M'écrire
  • Facebook
  • Instagram
  • Lutte Nuptiale
  • Premières fois
  • Identités Singulières
  • Twitter
  • 25 octobre 2007

    Ca s'arrange pas !

     

    Personne n’a jamais entendu parler de la planète Glukxon 888. Personne, pas même le plus vieux des baroudeurs intergalactiques le plus chevronné. Elle ne figure sur aucune carte mère, et n’a jamais été recensée par aucun spacio-senseur stellaire au cours des derniers millénaires.

     

    Et pourtant….

     

    Et pourtant au fin fond de l’infini, à plusieurs milliards de giga-quarks à l’est de la plus éloigné des galaxies, au beau milieu d’un désert spatial qui effraierait même un Plutronien astigmate, la planète Glukxon 888 tourne sur elle-même telle une toupie esseulée.

    Constituée d’une atmosphère qui détruirait toute vie organique connue, d’un sol acide gluant dont la radioactivité représente à elle seule le dixième de la radioactivité émise par l’univers au cours des derniers 14 milliards d’années, et dont la dureté relègue le diamant à de la margarine prête à tartiner, Glukxon 888 se veut le temple de l’inhospitalité.

     

    Et pourtant…

     

    Et pourtant, cette charmante planète sur laquelle un Zentradien n’aurait jamais posé un tentacule, non pas que les Zentradiens aient des tentacules – ce sont en fait des antennes dotés de mandibules urticants faisant également office d’estomac, bizarrerie anatomique dont ces étranges créatures sont coutumières – mais quand bien même les Zentradiens eussent-il été dotés de tentacules, il n’auraient jamais eu l’idée – il aurait fallu le leur suggérer d’abord tant ils peuvent manquer d’initiative – sauf à leur promettre en échange une pelleté pleine de minerai d’hydrogène effervescent, spécialité culinaire de la Constellation du Clou dont ils sont particulièrement friand, quoique ce minerais soit traditionnellement destiné à dissoudre les métaux dans les fonderies de la Regentia, sur cette charmante planète donc, régnaient sans partage une quiche lorraine mal cuite et un poulpe ménopausé surnomé Pouppy, mais personne ne sait pourquoi.

     

    Pouppy et Gaston, car tel était le prénom de cette féroce quiche lorraine mal cuite, se livraient une guerre sans pitié depuis tellement de temps que ni l’un ni l’autre ne savaient vraiment pourquoi. D’ailleurs, avaient-ils jamais su pourquoi tout cela avait commencé ? Rien n’est moins sûr.

    Selon certaines rumeurs non vérifiées, il se serait agit d’une vague histoire de synchrotron endommagé par suite d’une funeste avarie de galvatométron à hyrdocentrie paramétrée, une broutille quoi…

    A moins que, selon d’autres sources tout aussi invérifiables, l’origine réside tout simplement dans une mauvaise blague sur la sœur de Pouppy et que ce dernier aurait mal pris, et suite à laquelle Pouppy, vexé comme seul un poulpe ménopausé Glukxonien peut l'être, aurait - à titre de représailles - atomisé d’un coup de plasmotron le yucca en antimatière tout neuf que Gaston venait de s’offrir.

     

     

     

    ...

     

     

     

    Si vous voulez connaître la suite de cette merveilleuse histoire, ben vous n'avez qu'à l'écrire vous même...

     

     

    moi je renonce !!

     

    Allez, soyons fous, les meilleures seront publiées.

    1 commentaires:

    1. T\'aurais pas relu ton perso de la murder intergalactique, toi, par hasard? à moins que tes oeufs de 100 ans soient plus qu\'une préparation culinaire de base? Y aurait-il des effets secondaires à quelques jours de l\'ingestion... fais gaffe à ce qu\'une bébête ne te transperce pas le thorax après avoir bien couvé dans ton ventre (je déteste ces monstres baveux d\'aliens : c\'est du gluant gratuit, ça me répugne!).
      Quant à Pouppy, il me semble avoir déjà entendu parler de lui de manière assez insistante l\'été dernier, mais peut-être n\'est-ce qu\'une coïncidence? En tout cas, ça me rassure de savoir qu\'il a été retrouvé depuis!
      En fait je crois que je suis pas assez douée pour continuer la rédaction d\'une si délirante histoire (mais je serai ravie de connaître la suite), je me remets à ma thèse, en désespoir de cause... (quoique suis-je assez douée pour cela aussi? La 61ème page est toujours une page blanche depuis un mois maintenant...)

      RépondreSupprimer

    Bonjour, vous êtes bien chez Tambour Major.

    Ce billet vous a plu ? Il vous fait réagir ?
    Laissez donc un commentaire grâce au magnifique formulaire mis à votre disposition.

    Z'allez voir, ce n'est pas bien compliqué :

    1) Ecrivez votre petit mot doux dans l'espace de saisie ci-dessus.
    2) Identifiez-vous : sous Sélectionner le profil, cochez Nom/URL.
    3) Saisissez votre nom de scène, votre pseudonyme ou celui de votre chat si c'est ce dernier qui écrit.
    4) Si vous avez un blog, vous pouvez lui faire de la pub en mettant son adresse dans la case URL.
    Sinon passez directement à l'étape suivante.
    5) Cliquez sur Publier.
    6) Tadaaaaaam ! Sous vos yeux ébahis, votre commentaire s'affiche dans toute sa splendeur.

    Elle est pas belle la vie ?
    À bientôt !