Ce matin en me levant j'ai eu la surprise de découvrir le vide intersidéral qui hante mes placards. Ha bé non, y'a plus rien à manger du tout à part des champignons chinois séchés et du maïs à pop-corn. Rageant... Mais pas assez pour déstabiliser un Tambour Major encore en mode [plantigrade affamé]. En plus j'avais envie de manger quelque chose de bien régressif, avec du chocolat, du sucre à gogo et des trucs qui croquent sous la dent en lieu et place des tartines de miel (de bruyère en ce moment) sur pain complet dont le grizzly qui sommeille en moi se délecte quotidiennement.
Je lance une cafetière qui embaume aussitôt l'appartement de senteurs exquises et enfile sans prendre la peine de me doucher un jean et un pull qui trainent au pied du lit. Hop, direction la superette du coin de la rue en quête de victuailles. Mon choix est vite fait. Mon instinct est mon guide, je ne commande plus rien, abandonnant ma raison à l'empire de mes sens, et surtout de ma gourmandise.
Cinq minutes plus tard me voici de retour chez moi. Un énorme mug rempli de café, quelques carrés de chocolat aux noisettes et des Princes au chocolat, tel sera mon festin. Sacrilège suprême : tremper les gâteaux dans le café au lait, ce qui ramollit le biscuit, mais fait aussi fondre le fourrage au chocolat qui dégouline... Difficile de manger tout à fait proprement. Je m'en fous : c'est régressif à souhait, ça fait du bien partout et c'est exactement ce dont j'avais besoin pour mon bonheur. Ca peut être si simple la vie parfois.
Je lance une cafetière qui embaume aussitôt l'appartement de senteurs exquises et enfile sans prendre la peine de me doucher un jean et un pull qui trainent au pied du lit. Hop, direction la superette du coin de la rue en quête de victuailles. Mon choix est vite fait. Mon instinct est mon guide, je ne commande plus rien, abandonnant ma raison à l'empire de mes sens, et surtout de ma gourmandise.
Cinq minutes plus tard me voici de retour chez moi. Un énorme mug rempli de café, quelques carrés de chocolat aux noisettes et des Princes au chocolat, tel sera mon festin. Sacrilège suprême : tremper les gâteaux dans le café au lait, ce qui ramollit le biscuit, mais fait aussi fondre le fourrage au chocolat qui dégouline... Difficile de manger tout à fait proprement. Je m'en fous : c'est régressif à souhait, ça fait du bien partout et c'est exactement ce dont j'avais besoin pour mon bonheur. Ca peut être si simple la vie parfois.
Choco BN ou Prince de Lu ? Même sur facebook ils en débattent!!
RépondreSupprimerToi, t'as pas le choix, il te faut trouver un Prince riche en or noir.....;-)
Dans le même genre, j'ai fait madeleines au nutella ce matin trempées dans du lait.
RépondreSupprimerA midi on grille des marschmallows et des fraises tagada, avec des saucisses trempées dans du ketchup?
RépondreSupprimerMoi j'avais envie de cuisiner celà:
RépondreSupprimerhttp://www.advirgilium.net/index.php?post=169.
Alors je suis allé au marché acheter tout ce qu'il fallait. J'adore les marchés. Les gens y sont cools et reposés. Demain, je cuisine.
C'est dangereux de faire des courses le ventre vide... Dangereux pour le porte-monnaie et la ligne, bien sûr. ;)
RépondreSupprimerMieux que les BN et les Princes, à Montréal il y a les biscuits du Président, des cookies complètement décadents, plein de pépites de chocolat, qui fondent aussi dans le lait. Je n'ai jamais réussi à ne pas finir un paquet à peine ouvert. :P
Un vrai connaisseur : le "choco BN" a été, depuis longtemps déjà, tellement raboté sous prétexte de lui donner un aspect "ludique", qu'il mérite d'être boycotté !
RépondreSupprimerLe "Prince", lui, est franc du collier, plein, calorique à souhait.
Brandissons son étendard : à bas BN, vive Prince !
(Très belle photo qui valait bien un copyright).
Pfiou ! Comment j'ai eu le cœur qui a bondi !!!
RépondreSupprimerJe vois le titre du billet et comme je pensais que tu allais délirer sur notre diner d'hier soir, j'ai cru que tu n'avais pas osé me déclarer ta flamme !
Remarque, à coté de ce prince là, je ne vaut pas tripette ...
J'adore ! ;-)
RépondreSupprimer@ Nigloo : Les choco BN c'est tout pourri et Ca ressemble à rien. En plus le biscuit est trop léger : impossible de tremper son biscuit sans qu'il se dissolve dans son verre comme un aspirine effervescent. Un Prince sinon rien !
RépondreSupprimer@ Rouge-Cerise : Rhaaaa ouiiii ! Le combo de la mort qui tue ! Lait chaud ou lait froid ?
@ Flavien : Je ne suis pas à un défi près ! :D Porte les marschmallows, je fournis le reste.
@ Gouli : Je me suis fait un énooooorme pot au feu cette semaine avec du jarret. Un régal. Je n'ai encore jamais tenté le bortsch, j'ai de la joue de boeuf au congélo, ce serait peut être l'occasion de me lancer.
@ Olivier : Dans le genre tuerie décadente tu as aussi les biscuits Oréo, tellement hyperglycémiques que c'en est un scandale !
@ S.:G.C. : Et encore, il me semble dans mes souvenirs d'enfance que le biscuit du Prince était un tout petit peu plus dur. J'ai du me muscler les mâchoires entre temps... Ou alors ils ont un peu modifié leur recette.
@ Maxivirus : Tu as tout de même un peu plus de conversation que le biscuit Lefèvre-Utile ;)
@ Glimpse : Tu fais dans la sobriété dis donc. C'est ton chat qui t'épuise à ce point ? ^^
"Un jour mon prince viendra, un jour mon prince viendra ....................."
RépondreSupprimerla pauvrette ne parlait pas de le tremper dans son café !!!! toi au moi tu vas jusqu'au bout du fantasme
lol
bon w-end
akenaboy
Alors comme ça le Tambour Major a "trempé son biscuit" ce matin ? On sait ce que ça veut dire... ;-)
RépondreSupprimer@ Akenaboy : Je suis outré ! Comment oses-tu dévoyer ainsi ce conte pur comme la neige ? Satyre ! :D
RépondreSupprimer@ Loup : Que je suis un grand gourmand ?
C'est une manière de le formuler, oui :-)
RépondreSupprimerOuaiiis, les Princes c'est trop bon ! Premier trempage, on croque la moitié en en mettant partout. Deuxième trempage, la moitié de ce qui reste (le quart pour ceux qui ne suivent pas) et enfin le dernier ch'tit bout que l'on tient du bout des doigts pour le laisser imbiber au maximum le lait ! Trop boooon ! Merci pour ce moment de régression, que je ne suis pas prête de concrétiser étant donné que les Prince ici y'en a pô (les BN non plus d'ailleurs...)
RépondreSupprimerJe suis surpris de ne voir le Nutella cité qu’une fois ici alors qu’au niveau du plaisir la régressif c’est quand même le top !
RépondreSupprimerIl n’y a pas de surprise dans ces plaisirs régressifs et répétitif, on s’y adonne avec plaisir, acharnement et constance.
Quant au prince, je préfère celui qui a deux parfums, chocolat et lait ou chocolat et vanille. Le plaisir se renouvelle d’une moitié à l’autre. On croit connaître son prince et, on découvre une face cachée pleine de nouvelles ressources. Rien qu’à la vue d’un de ces princes, déballé et prêt à subir l’assaut de ma bouche gourmande je … je … je m’égare ...
Certes, je dois surement avoir un peu plus de conversation qu'un prince de LU, mais lui, il est à croquer, je ne suis pas convaincu que tu en dirais autant de moi.
RépondreSupprimerJe comprends... Moi, mes "Prince" ce sont les fingers de Cadburry. Rien que d'en parler j'en ai l'eau à la bouche ;)
RépondreSupprimerPS : (à retardement)
RépondreSupprimerDe toute façon, prince, bn, ou fingers, rien ne peut rivaliser avec un GRANOLA !
Et pas la peine de ramener le Nutella sur la table (sinon, je le mange) parce qu'il ne joue pas dans la même catégorie !
Si on ne trempe pas, il n'y a aucune utilité, aucune poésie...
RépondreSupprimerTu fréquentes quelle supérette... ?
RépondreSupprimer@ Loup : Ha bon, il y en avait d'autres ? Tu aurais dit quoi, toi ? =)
RépondreSupprimer@ Sandrine : Hou, je vois que j'ai affaire à une véritable spécialiste ! Mais comment compenses-tu ton envie de Prince et de Choco BN alors ?
@ Pianiste : Du calme, du calme... Tu vas saloper tout ton clavier à baver ainsi :)
@ Ditom : Ha oui, c'est très bon ça aussi. Sauf que le chocolat tout autour empêche le lait de pénétrer au coeur du biscuit ! Il faut soit croquer un bout avant, soit sucer avec ardeur pour faire fondre l'enveloppe chocolatée... Et puis plus on le tient en main, plus on en a plein les doigts !
@ Maxivirus : Disons que le Nutella fait partie des armes de destruction massive qui te fait passer d'un tour dfe taille 44 fillette à un bon 48 en deux coups de cuillère à pot. A user avec modération, mais sans honte :)
@ Joss : Voilà qui est bien dit !
@ Ben : En réalité plusieurs. J'en ai une à coté de chez moi, non loin du centre ville. Un indice pour jouer chez vous : on m'y voit parfois ;)
je te trouverai. je me posterai au rayon miel de chaque supérette.
RépondreSupprimerA 28 ans, je mange encore régulièrement des princes trempés dans un petit bol de lait chocolaté. Un vrai bonheur !
RépondreSupprimerEt personne pour tremper une tranche de pain frais avec du camembert dans du café noir ????
RépondreSupprimer@ Ben : Bonne chance, tu en auras besoin ;)
RépondreSupprimer@ Jonathan D. : J'ai toujours su que tu avais conservé ton âme d'enfant :)
@ PascalR : Ca fait pas tomber les dents ça ? ^^
Nous avons tellement adoré ta petite narration regressive que l'on s'est tapé dans la foulée ( sans regret ni remords) un bon petit pastis landais bien moelleux... groumpf!
RépondreSupprimerAh au fait Pastís est un mot gascon qui signifie gâteau et le pastis landais c'est une pâtisserie parfumée à l’eau de fleur d'oranger, à la vanille ou au rhum et que l'on déguste dans toute l'Aquitaine: c'est riche très riche... en calories mais au diable les diktats des diététiciens!!!
Je suis encore en retard d'une bataille. Je me fus nourri au Choco BN , appellé aussi par ma mère Bi-choco. Je ne serais dire pourquoi ma mère le priviligiait à Prince.
RépondreSupprimerAujourd'hui je n'en mange plus.
Ah lalalaaaaaaaaaaa , la madeleine se nomme aujourd'hui prince, ou va le monde ?
Sincèrement votre