L'autre jour je déjeunais avec une amie place des Carmes. Un très beau quartier, vivant, qui a gardé un esprit de village au coeur de la ville, son marché quotidien sous les arches de béton de la halle neuve, ses troquets, ses figures, son rythme, son souffle. Attablés à l'ombre apaisante d'une bonne maison nous parlions d'un peu tout, de notre vie respective, de nos envies, de nos amours passées, présentes et à venir. Des siennes, vacillantes et sur le point de connaître un heureux nouveau souffle. Des piètres miennes, voguant de Charybde en Scylla au gré de vents paresseux.
Je lui confiais certains échecs, les erreurs de casting, je lui parlais de certaines personnes que j'ai cru aimer mais pour lesquelles j'ai du me rendre à l'évidence de l'illusoire de notre relation, de mes écueils récurrents, de mes angoisses existentielles. Car il est vrai que si ma vie sentimentale a réellement démarré à partir de l'instant - tardif - où j'ai franchi le seuil du miroir, le bilan n'est pas flamboyant. Environ quatre mois, c'est le temps qu'a duré ma plus longue relation avec un garçon, en trois ans. Je lui faisais part du besoin régulier que je ressens de me retrouver seul et de mes doutes sur mon aptitude à vivre en couple. Je ne sais pas trop à quoi est du qu'une relation prenne, si les circonstances de la rencontre ont leur importance. J'ai tendance à croire qu'un plan cul peut difficilement devenir l'amour d'une vie. Et encore... je n'en suis même pas sûr. Je ne suis d'avantage enclin à admettre que l'amitié puisse se muer en autre chose. Quoique... Reste l'hypothèse par trop romantique du coup de foudre.
Entre deux phrases, m'observant de son pénétrant regard malicieux elle me glissa : "Bientôt tu seras prêt". Je la regardais interloqué et dubitatif. Tandis que je la dévisageais, j'imagine qu'elle pouvait lire son mon visage un mélange de perplexité et de satisfaction. Oui, peut-être suis-je prêt à entreprendre quelque chose. Prêt dans ma tête, après avoir fait pas mal le point sur moi même, sur ce que je veux, ce que je suis prêt à faire ou à concéder. Bientôt tu seras prêt. Comment le saurai-je ? Et l'est on jamais ?
Malgré mes doutes sur moi, l'envie est là, parfois. Celle de construire quelque chose, d'avoir l'impression d'avancer, de progresser. Il est assez facile de passer une nuit agréable en bonne compagnie. Le net est en cela un outil de braconnage très performant : il suffit de s'y aventurer pour partir à la chasse et ramener un beau mâle dans sa gibecière. Certaines personnes peuvent se passer de sexe. Moi pas. Cependant je me rends compte qu'au delà du sexe, c'est désormais avant tout de la tendresse que je recherche. J'en discutais récemment avec un autre blogueur. Les câlins, la chaleur humaine, la tendresse... La tendresse, cette denrée inestimable, encore plus indispensable qu'une partie de jambes en l'air. Parce que partager un moment de tendresse va au delà d'un simple plaisir égoïste. C'est un instant privilégié qui peut être sentimentalement tout aussi neutre que totalement engagé. Un instant de tendresse exprime tellement plus que des mots. Aucun gadget ne remplace l'amour, écrivais-je au même blogueur, mais rien non plus ne remplace la tendresse, que ce soit pour un gros câlins à pleins bras ou une simple caresse sur la joue...
Je lui confiais certains échecs, les erreurs de casting, je lui parlais de certaines personnes que j'ai cru aimer mais pour lesquelles j'ai du me rendre à l'évidence de l'illusoire de notre relation, de mes écueils récurrents, de mes angoisses existentielles. Car il est vrai que si ma vie sentimentale a réellement démarré à partir de l'instant - tardif - où j'ai franchi le seuil du miroir, le bilan n'est pas flamboyant. Environ quatre mois, c'est le temps qu'a duré ma plus longue relation avec un garçon, en trois ans. Je lui faisais part du besoin régulier que je ressens de me retrouver seul et de mes doutes sur mon aptitude à vivre en couple. Je ne sais pas trop à quoi est du qu'une relation prenne, si les circonstances de la rencontre ont leur importance. J'ai tendance à croire qu'un plan cul peut difficilement devenir l'amour d'une vie. Et encore... je n'en suis même pas sûr. Je ne suis d'avantage enclin à admettre que l'amitié puisse se muer en autre chose. Quoique... Reste l'hypothèse par trop romantique du coup de foudre.
Entre deux phrases, m'observant de son pénétrant regard malicieux elle me glissa : "Bientôt tu seras prêt". Je la regardais interloqué et dubitatif. Tandis que je la dévisageais, j'imagine qu'elle pouvait lire son mon visage un mélange de perplexité et de satisfaction. Oui, peut-être suis-je prêt à entreprendre quelque chose. Prêt dans ma tête, après avoir fait pas mal le point sur moi même, sur ce que je veux, ce que je suis prêt à faire ou à concéder. Bientôt tu seras prêt. Comment le saurai-je ? Et l'est on jamais ?
Malgré mes doutes sur moi, l'envie est là, parfois. Celle de construire quelque chose, d'avoir l'impression d'avancer, de progresser. Il est assez facile de passer une nuit agréable en bonne compagnie. Le net est en cela un outil de braconnage très performant : il suffit de s'y aventurer pour partir à la chasse et ramener un beau mâle dans sa gibecière. Certaines personnes peuvent se passer de sexe. Moi pas. Cependant je me rends compte qu'au delà du sexe, c'est désormais avant tout de la tendresse que je recherche. J'en discutais récemment avec un autre blogueur. Les câlins, la chaleur humaine, la tendresse... La tendresse, cette denrée inestimable, encore plus indispensable qu'une partie de jambes en l'air. Parce que partager un moment de tendresse va au delà d'un simple plaisir égoïste. C'est un instant privilégié qui peut être sentimentalement tout aussi neutre que totalement engagé. Un instant de tendresse exprime tellement plus que des mots. Aucun gadget ne remplace l'amour, écrivais-je au même blogueur, mais rien non plus ne remplace la tendresse, que ce soit pour un gros câlins à pleins bras ou une simple caresse sur la joue...
Découpant sa tranche de melon avec détachement, elle me regarda à nouveau : "De toute façon, toi ce qu'il te faut, c'est une histoire simple". J'esquissais un sourire. C'est vrai. Un garçon simple pour une histoire simple et une vie presque ordinaire. Mais certainement pas une vie quelconque.
Et dévorer les jours à pleines dents, la main dans la main.
Et dévorer les jours à pleines dents, la main dans la main.
Je souhaite dans ma maison :
Une homme ayant sa raison,
Un chat passant parmi les livres,
Des amis en toute saison
Sans lesquels je ne peux pas vivre.
Une homme ayant sa raison,
Un chat passant parmi les livres,
Des amis en toute saison
Sans lesquels je ne peux pas vivre.
A peu près Apollinaire
[ Ce billet est un peu décousu... J'aurais peut être du le laisser mûrir d'avantage avant de le publier. J'espère que vous m'en excuserez. ]
quand il y a de l'amour on recherche la tendresse, quand l'amour part, la tendresse devient supplice.
RépondreSupprimerIl est vrai que c'est la tendresse qui manque le plus. J'ai eu une période plan Q que j'ai vite arrêtée car il me manquait à chaque fois la tendresse, la complicité et me voir autrement qu'un moment sexe dans les yeux de l'autre.
RépondreSupprimerJe ne pensais plus me mettre en couple puis il est arrivé. C'était comme une évidence.
Je lui ai fait de la place dans ma vie... et Ca fait 8 ans que ça dure.
Maintenant, j'ai la vie que je recherchais depuis longtemps et c'est une simple vie de couple comme toutes les autres...
Je suis d'accord avec ton amie "ca viendra quand tu seras vraiment prêt..."
Ça peut te tomber dessus n'importe quand et de préférence lorsque tu ne t'y attendras pas et que tu auras l'impression que ça vient foutre le bordel dans ta vie (presque) ordinaire de mec (presque) quelconque (assertion à laquelle je ne crois absolument pas soit dit en passant ;-)))).
RépondreSupprimerEt surtout, il y a bien des alternatives à la vie de couple, deux brosses à dents dans le même verre, partager les factures d'électricité, laver les chaussettes de l'autre et ranger ses slips... Une authentique Desperate Housewife. P'tin mais qu'est-ce qui pousse les pédés à vouloir se faire chier comme les hétéros, à vouloir se marier et élever des grumeaux (j'ai pas dit que c'était ton cas) alors qu'on a plein d'autres choses à inventer dans ce domaine ? La vie de couple et le quotidien, ça tue l'amour.
Tu ne t'es pas casé pour la vie jusqu'ici ? Et alors ? La vie est courte, et le mariage c'est long...
Peut-être que tu ne seras jamais prêt pour une de vie de couple. Et alors ? Est-ce que ça voudra pour autant dire que tu as raté ta vie ?
L'hétéronorme est-elle donc à ce point imprimée malgré nous dans notre conception de l'existence ? Si ce modèle était censé nous assurer un bonheur durable, on le saurait depuis fort longtemps : sur ce point c'est statistiquement un bide magistral. Pour la tendresse, tu as mille fois raison, mais à ne pas confondre avec le couple. Et un plan cul peut devenir un grand amour, ce ne sera peut-être pas celui de toute une vie. So what ?
Moi je pense que quand ça doit arrivé ça arrive... Oui je sais ça fait un peu phrase toute fait et pourtant. C'est pas truc qui se prévoit l'amour. Donc ton amie a raison "bientôt tu seras prêt", mais par contre quand ? Ça personne ne le sait même pas toi.
RépondreSupprimerEt pour la tendresse et le cul tu sais ce que j'en pense... Gadget pour le sexe... Ça existe.... Gadget pour la tendresse...
J'ai peur qu'un incorrigible romantique n'ait rien à t'apprendre. J'ai eu trois fois un coup de foudre, à chaque fois des années de passion que je ne regrette pas, et je sais que si je devais être seul un jour je recommencerais sans hésiter.
RépondreSupprimerMais tu es si profondément différent de moi, que je te conseillerais tout le contraire, une relation basée sur l'intelligence et le réalisme, la complicité. La tendresse viendra d'elle même. Bonne chance
L'amour nous tombe toujours dessus au moment où on s'y attend le moins. Avec mon homme, c'est arrivé tout d'un coup, s'est imposé comme une évidence, et ça fait déjà 4 ans. :)
RépondreSupprimer"Bientôt tu seras prêt." Je le crois aussi. Tu le sauras à ce moment là. :)
Moi je trouve que ce billet est à point.
RépondreSupprimerEt l'amour c'est juste deux personnes qui sont sur la même longueur d'onde au même moment donné. Exemple :
Tu fais un plan cul, ce mec est beau, bien bandant, et au détour d'un froissement de draps, tu te prends à rêver d'un demain avec lui. Tu es dans le mood, mais lui pas du tout, et il repart en te laissant son numéro si jamais "tu veux le troncher, un de ces 4". Rien de moins sexy...
Ou alors,
Tu fais un plan cul, ce mec est beau, bien bandant, et au détour d'un froissement de draps, tu te prends à rêver d'un demain avec lui. Tu es dans le mood, et lui aussi, il te regarde avec des yeux d'amoureux, et n'ose pas partir. Quand enfin il le fait, il te laisse son numéro si jamais "tu veux recommencer, dans les formes". Super sexy !!! Et c'est pas pour autant que tu pourras pas le troncher, un de ces 4 lol
hihi. Le même mood au même moment, c'est ça le secret !!!
ça te tombe dessus sans crier gare, sans chercher! moi, c'est ainsi, une rencontre, en boite de nuit, bêtement, alcoolisés un brin et ça a duré 7 ans ! ca s'est éteint à toulouse !
RépondreSupprimerbises
c'est bien tricoté...Comme beaucoup le disent ici,ça arrive pas forcément quand tu le cherches, ça accroche pas spécialement avec le "genre" que tu préfères, c'est compliqué..."Le Mec", tombe rarement du ciel, il faut chercher....sans trop chercher...!!
RépondreSupprimerIl n'y a pas de recettes pour tomber sur la bonne personne.Une rencontre dans la rue, au boulot, en boite, un plan cul... Quand cela arrive cela arrive. Et comme le disait notre grande philosophe Zezette :"Chaque pot à son couvercle". lol
RépondreSupprimerJ'aime bien ton texte et ta réflexion est très intéressante et sans genre. Je crois sincèrement que la journée où tu rencontreras celui qui te conviendra, tu deviendras alors prêt à faire ces petites concessions de la vie de couple et que tu trouveras la formule qui te convient. En tout cas, c'est ce que je me répète régulièrement. :D
RépondreSupprimerJe ne sais pas si je vais connaitre un nouveau souffle ou pas, ce que je sais, c'est que je revis (sais pas si ça s'écrit comme ça), et que j'ai fait ce qu'il fallait pour reprendre ma vie en main.
RépondreSupprimerTout ce que je t'ai dit je le pense, laisse toi porter par la brise, suis la route la mieux tracée pour toi, et un jour ... tu verras ... Tu serras heureux ...
Je ne sais pas s'il faut se poser autant de questions sur soi-même pour être "prêt" à vivre une relation "simple" ou pas. La vie ne nous fournie pas de mode d'emploi car ce dernier est différent pour chacun.
RépondreSupprimerMon petit tambour, ne te pose pas trop de questions car on a rarement les réponses et ça devient un cercle infernal... il faut vivre l'instant qu'il vient.
L'Amour nous tombe dessus sans prévenir, sans chercher... c'est ainsi et à tout âge.
Profitons des petits plaisirs de tous les jours, c'est le plus important.
:-)
Si tu as besoin de te retrouver régulièrement seul, en toute quiétude, il te faut aussi un mec pas trop collant ni trop pressant. La bonne distance est difficile à trouver.
RépondreSupprimerSinon, par pitié, mon cher TM, on écrit "davantage" et en aucun cas "d'avantage", une faute que j'ai trouvée récurrente dans ta jolie prose ;-)
Chaque histoire est singulière ..
RépondreSupprimerIl y a bien longtemps, j'aurai écrit ton billet ..
Sauf que, c'est un plan cul au sauna qui a été à l'origine d'une très belle histoire.
Je n'attendais plus rien, me résignais à penser que les choses de l'amour n'étaient pas pour moi, que je n'étais pas doué pour ça...
Il m'a conquis , il m'a fasciné.
L'éloignement géographique me paraissait une chance, évitait l'usure du quotidien, ne restaient que le nectar, le bonheur des retrouvailles ..
La tendresse..
14 ans
A partager des week-ends, des spectacles, des expos, des lectures ,des voyages. que des goûts communs..
(j'ai souvent pensé qu'une relation s'entretient, se nourrit comme on porte des bûches au feu, qu'une douce et confortable chaleur peut succéder aux grandes flammes)
A l attendre aussi, à passer après tout le reste car il tait sa double vie à ses grands enfants, à son entourage, à passer des fêtes de fin d'année seul, mais, malgré tout en acceptant son incapacité( le prix à payer pour les bons moments sans doûte).
Puis les mots se sont fait rares, les visites se sont espacées, il a décidé qu'on n'avait plus grand chose à faire ensemble.
c'était il y a 15 mois, tristesse énorme..
je finis par accepter, et cette complicité me manque, ce G des premières années me manque.
Le plus triste .. cet homme qui porte son homosexualité comme une verrue, qui a pensé qu'en interrompant sa relation avec un autre homme il serait libéré de sa "maladie honteuse" , est en analyse depuis 30 ans, est membre de l'ECF et a maintenant sa plaque de psychanalyste..
Je lui dois des moments magnifiques, un sentiment de gâchis et une profonde blessure
Pas de conseil à donner, je suis un incorrigible célibataire... Mais c'est à croire que le sujet travaille les blogueurs en ce moment, c'est le 2e que je consulte qui en parle, un peu sur la même tonalité. L'été s'installant, la nostalgie de l'amour nous submergerait-elle ?
RépondreSupprimerPS 1. J'adore le chaminou, trop craquant ^^
PS 2. Le père Éric est en forme, wow ! :D
Encore un joli billet que j'aurais aimé savoir écrire... En tous cas un beau sujet de conversation que je garde au chaud dans ma gibecière spéciale nuit blanche du mois d'août !!!
RépondreSupprimer@ Sylvain : Que dire alors lorsqu'il n'y a ni l'un ni l'autre ?
RépondreSupprimer@ Comdhab : J'avoue avoir de la chance et dégoter de temps à autre un partenaire de jeux très câlins, ce qui nous fait du bien tant à l'un qu'à l'autre.
@ Eric : Ho mais je ne cherche pas absolument à me caser. Je connais la chance qu'est ma liberté actuelle. J'en connais également les limites. Quant à rater ma vie je pense que ce sera le cas si le jour où je décède il n'y aura pour m'accompagner dans l'église silencieuse, que monsieur le curé, un vieux sacristain et le voisin de palier qui m'aura trouvé mort et personne pour se souvenir de moi, spectacle déprimant auquel j'ai pu assister récemment alors que je tenais l'orgue de choeur d'une grande paroisse du centre ville. Mourrir dans l'oubli. Quelle désolation ! Voilà ma réelle angoisse.
@ Christophe : Phrase toute faite, et pourtant c'est la stricte vérité !
@ Flavien : Incorrigible romantique ? J'en suis un autre. Peut être un peu trop cartésien... La chance n'a rien à faire là dedans. Laissons toute sa place au Destin ou plutôt à sa figure latine : la Fortune.
@ Ô. d'Evian : Je sais, je sais... de toutes façons je n'attends rien de spécial de ce côté là. Je vis ma life et advienne que devra !
@ Fabisounours : Certes certes, le même mood au même moment. Encore faut-il que cela se produise ;-)
@ Corto74 : Désolé que Toulouse reste dans ta mémoire le siège d'un funeste épisode... Que cela ne te dégoute pas d'y revenir !
@ Nigloo : C'est un peu ma philosophie depuis quelques mois déjà : garder l'oeil ouvert, sans trop s'attarder, et vivre sa vie.
@ Christophe : Ha oui... que ferions nous sans Zezette !
@ Mélanie : Bienvenue au club ;-)
@ Khey : Ho mais je ne suis pas malheureux. Pas du tout même. A la recherche d'un autre équilibre peut être...
@ Fred : Me poser moins de questions ? Autant apprendre à la Tour Eiffel à danser la samba !
@ Kynseker : Oops, je corrige ça tout de suite !
@ Gilles : Je ne crois plus aux histoire à distance. J'ai déjà donné, sans grand succès. Je ne pense pas pouvoir construire un quotidien à coup de kilomètres interposés. Du moins jusqu'à présent cela n'a pas marché.
@ Deef : Je me voyais plutôt dans le gros toutou... :-)
@ Revigo : Ce n'est plus une nuit, mais une semaine blanche qu'il va nous falloir !
Ta note fait écho à ce que je vis en ce moment, et même si chaque histoire est différente, la tienne m'a fait monter les larmes aux yeux. Alors je pense fort à Zézette et ça va mieux :)
RépondreSupprimeril y a aussi la "capacité" à tomber amoureux. certains tombent facilement amoureux, ils ont une forte capacité à tomber amoureux (ce n'est pas mon cas) ils ont donc mathématiquement au final plus de chance de trouver le bonheur (même si parallèlement ils vont aussi se prendre plus de râteaux avant). qqn qui ne tombe pas facilement amoureux a donc plus de chance de rester célibataire jusqu'au jour où il trouve LA bonne personne...
RépondreSupprimer4 mois en 3 ans ? Ma plus longue relation était à peine 3 mois, en 4 ans de vie homo (et quasiment rien avant...). Alors que je songeais à l'idée de vivre seul, et profiter de la liberté qu'offre le célibat, voilà que je rencontre un mec qui me plaît et ça fait 2 ans et demi qu'on est ensemble !
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