Aussi loin que je me souvienne, la dernière fois où j'ai réellement commencé à ressentir quelque chose pour quelqu'un remonte à février dernier. Ho, comme à chaque fois ce fut pathétique et il fallut moins d'une semaine pour que l'idylle s'effiloche comme une vieille chaussette mal reprisée. Quelques semaines auparavant j'avais déjà subi un échec, hautement prévisible, mais qui ne tente rien n'a rien parait-il. Deux claques consécutives qui, faisant suite à une rupture - de mon fait cette fois - après une relation de quatre mois (mon plus gros score), n'ont fait que m'endurcir, à épaissir ma carapace, cette fameuse carapace dont j'ai déjà parlé.
La semaine dernière j'ai commencé à discuter avec un charmant garçon dont certaines photos pourraient parfaitement figurer chez Loup ou Fred, arborant sur son profil un rayonnant visage que de grands yeux noirs pétillants viennent ponctuer avec élégance, et dont le décolleté invite le regard à plonger vers une étourdissante garrigue sauvage (oui oui les garçons, vous pouvez baver de jalousie). Cela faisait à vrai dire plusieurs semaines que l'on se tournait autour, que je voyais les traces son passage sur mes plates-bandes, qu'il pouvait constater mes empreintes sur les siennes et qu'il me glissait de temps à autre des invitations à entrer en contact, invitations auxquelles je n'osais trop répondre. Et puis un beau soir j'ai ouvert le feu. "Advienne que pourra" me suis-je dit. La conversation s'est engagée, simplement.
Nous avons commencé à papoter à la faveur d'un feeling plutôt bon, nous découvrant au gré de nos entrevues numériques quelques points communs et des différences plutôt sympathiques laissant entrevoir une jolie complémentarité. Les jours passant arrivent les premières vannes, comme des chatons foufous on sort un peu chacun ses griffes pour voir jusqu'où l'on peut aller, on se chambre, on se mordille, on rigole, signe que l'on s'apprivoise peu à peu, et que chacun prend ses repères. Visiblement on se plait. Pour moi, au vu des éléments que je recueille et de ce que je ressens alors par l'intermédiaire de nos messages, il pourrait tout à fait correspondre au profil de mec capable de me faire décoller.
Nous en venons progressivement à nous croiser à peu près tous les jours, à échanger très régulièrement, répondant presque du tac au tac, et moi à attendre avec anxiété au petit matin la réponse au message que j'avais pu lui laisser la veille au soir avant d'aller me coucher. Et puis vint le jour où, submergé par une intense fatigue, la machine à fantasmes s'est mise en route. La fatigue a le don d'exacerber les choses, c'est bien connu. Commençait ainsi à s'immiscer en moi un étrange malaise que je n'avais pas ressenti depuis de longs mois, le genre de distorsion que l'on ressent lorsque l'on se pose trop de questions qui restent sans réponses, que l'on se torture l'esprit, et cela malgré tous mes efforts pour ne pas m'emballer. Le malaise était d'autant plus grand que nous étions dans l'impossibilité de nous voir, chacun ayant migré vers le foyer parental à l'occasion du week-end de la Toussaint, et que je sais combien la réalité peut s'avérer cruelle lorsqu'il s'agit de déception. Je me suis mis à penser à lui, à imaginer des choses... Et s'il y avait une infime probabilité que ce soit le bon ?
Alors pour rêvasser un peu je me mis à ré-éplucher ses profils sur les deux sites où nous nous croisions. L'un d'eux précisait explicitement qu'il était maqué. La force du déni est extraordinaire... Sur l'autre, l'information figurait également, en filigrane cette fois ; j'avais du le voir, sans que je le comprenne sur le coup. J'avais tous les éléments sous mes yeux depuis le début : il n'est pas célibataire, il n'est pas disponible pour une romance. Il est donc inutile de fonder le quelconque espoir de nouer quoi que ce soit avec lui, ce qui aurait-du m'attrister un tant soit peu. Un rêve qui se brise, encore. Telle ne fut pourtant pas ma réaction.
Car en effet ce fut une puissante vague d'apaisement qui déferla en moi, emportant avec elle toutes mes angoisses, dissipant mes doutes, abrogeant toute velléité d'incertitude. Ce fut un soulagement formidable. Mais troublant aussi : cela signifierait-il que je n'aie point envie de tomber amoureux ?
Non, ce n'est pas cela du tout. Le soulagement est de savoir que je n'avais pas à me prendre la tête pour ce garçon, à torturer mon esprit déjà en proie à des Hydres personnelles dont je m'emploie à être l'Hercule. Je n'ai pas envie de ce malaise que j'ai parfois connu lors de premiers émois avec un garçon et que peu à peu se tresse de fil d'ariane de nos sentiments, même éphémères.
Néanmoins, le fait que je me sois posé tant de questions, que je me sois laissé emporter par mon imaginaire et me sois plu à envisager la possibilité d'un début de romance témoigne que l'envie n'est pas morte et que sous la cendre somnolent des braises qu'un souffle assez puissant pourra raviver toute l'ardeur. C'est plutôt rassurant de savoir que je puisse le moment venu succomber à des sentiments, malgré moi.
Comme j'imagine que vous vous posez la question, depuis j'ai rediscuté avec ce beau garçon. Libéré de mes doutes, la conversation a un peu évolué. Lui et son copain ayant une vie ouvertement libertine, il m'a proposé que l'on s'exerce à faire des bébés. J'ai dit oui, évidemment.
Fait rarissime, j'ai englouti une tablette de chocolat aux noisettes le week-end dernier. Il paraît que les envies de chocolat trahissent un besoin de tendresse.
Tout est bien qui ne va pas si mal, en définitive...
La semaine dernière j'ai commencé à discuter avec un charmant garçon dont certaines photos pourraient parfaitement figurer chez Loup ou Fred, arborant sur son profil un rayonnant visage que de grands yeux noirs pétillants viennent ponctuer avec élégance, et dont le décolleté invite le regard à plonger vers une étourdissante garrigue sauvage (oui oui les garçons, vous pouvez baver de jalousie). Cela faisait à vrai dire plusieurs semaines que l'on se tournait autour, que je voyais les traces son passage sur mes plates-bandes, qu'il pouvait constater mes empreintes sur les siennes et qu'il me glissait de temps à autre des invitations à entrer en contact, invitations auxquelles je n'osais trop répondre. Et puis un beau soir j'ai ouvert le feu. "Advienne que pourra" me suis-je dit. La conversation s'est engagée, simplement.
Nous avons commencé à papoter à la faveur d'un feeling plutôt bon, nous découvrant au gré de nos entrevues numériques quelques points communs et des différences plutôt sympathiques laissant entrevoir une jolie complémentarité. Les jours passant arrivent les premières vannes, comme des chatons foufous on sort un peu chacun ses griffes pour voir jusqu'où l'on peut aller, on se chambre, on se mordille, on rigole, signe que l'on s'apprivoise peu à peu, et que chacun prend ses repères. Visiblement on se plait. Pour moi, au vu des éléments que je recueille et de ce que je ressens alors par l'intermédiaire de nos messages, il pourrait tout à fait correspondre au profil de mec capable de me faire décoller.
Nous en venons progressivement à nous croiser à peu près tous les jours, à échanger très régulièrement, répondant presque du tac au tac, et moi à attendre avec anxiété au petit matin la réponse au message que j'avais pu lui laisser la veille au soir avant d'aller me coucher. Et puis vint le jour où, submergé par une intense fatigue, la machine à fantasmes s'est mise en route. La fatigue a le don d'exacerber les choses, c'est bien connu. Commençait ainsi à s'immiscer en moi un étrange malaise que je n'avais pas ressenti depuis de longs mois, le genre de distorsion que l'on ressent lorsque l'on se pose trop de questions qui restent sans réponses, que l'on se torture l'esprit, et cela malgré tous mes efforts pour ne pas m'emballer. Le malaise était d'autant plus grand que nous étions dans l'impossibilité de nous voir, chacun ayant migré vers le foyer parental à l'occasion du week-end de la Toussaint, et que je sais combien la réalité peut s'avérer cruelle lorsqu'il s'agit de déception. Je me suis mis à penser à lui, à imaginer des choses... Et s'il y avait une infime probabilité que ce soit le bon ?
Alors pour rêvasser un peu je me mis à ré-éplucher ses profils sur les deux sites où nous nous croisions. L'un d'eux précisait explicitement qu'il était maqué. La force du déni est extraordinaire... Sur l'autre, l'information figurait également, en filigrane cette fois ; j'avais du le voir, sans que je le comprenne sur le coup. J'avais tous les éléments sous mes yeux depuis le début : il n'est pas célibataire, il n'est pas disponible pour une romance. Il est donc inutile de fonder le quelconque espoir de nouer quoi que ce soit avec lui, ce qui aurait-du m'attrister un tant soit peu. Un rêve qui se brise, encore. Telle ne fut pourtant pas ma réaction.
Car en effet ce fut une puissante vague d'apaisement qui déferla en moi, emportant avec elle toutes mes angoisses, dissipant mes doutes, abrogeant toute velléité d'incertitude. Ce fut un soulagement formidable. Mais troublant aussi : cela signifierait-il que je n'aie point envie de tomber amoureux ?
Non, ce n'est pas cela du tout. Le soulagement est de savoir que je n'avais pas à me prendre la tête pour ce garçon, à torturer mon esprit déjà en proie à des Hydres personnelles dont je m'emploie à être l'Hercule. Je n'ai pas envie de ce malaise que j'ai parfois connu lors de premiers émois avec un garçon et que peu à peu se tresse de fil d'ariane de nos sentiments, même éphémères.
Néanmoins, le fait que je me sois posé tant de questions, que je me sois laissé emporter par mon imaginaire et me sois plu à envisager la possibilité d'un début de romance témoigne que l'envie n'est pas morte et que sous la cendre somnolent des braises qu'un souffle assez puissant pourra raviver toute l'ardeur. C'est plutôt rassurant de savoir que je puisse le moment venu succomber à des sentiments, malgré moi.
Comme j'imagine que vous vous posez la question, depuis j'ai rediscuté avec ce beau garçon. Libéré de mes doutes, la conversation a un peu évolué. Lui et son copain ayant une vie ouvertement libertine, il m'a proposé que l'on s'exerce à faire des bébés. J'ai dit oui, évidemment.
Fait rarissime, j'ai englouti une tablette de chocolat aux noisettes le week-end dernier. Il paraît que les envies de chocolat trahissent un besoin de tendresse.
Tout est bien qui ne va pas si mal, en définitive...
Je t'envie ta capacité à te libérer l'esprit de la sorte, car malgré mes efforts, le résultat n'est pas là en ce qui me concerne ! Quoi qu'il en soit, c'est toujours un plaisir de te lire, cela me change de ja jurisprudence administrative ... pfff vivement samedi midi, la colle sera passée et le plus chiant sera fait sic! ^_^
RépondreSupprimerEt si vous faites des petits, vous me mettez de côté une cagette ? :o)
RépondreSupprimerC'est le printemps ou bien...!?!
RépondreSupprimer:)
Il est toujours surprenant de voir comment fonctionne un cerveau, surtout quand il s’agit du sien. Les puissantes vagues d'apaisement, ou d’autres impérieux sentiments, c’est toi qui les créés. Tes sentiments sont, pour le moins, dans une logique contradictoires (comme tout le monde) et c’est ce qui fait ton charme dans ce billet. … Le fait de les coucher sur ton ordinateur avec franchise est assez jouissif pour nous. (Je ne suis pas en train de salir mon clavier, c’est une expression !)
RépondreSupprimerFais quand même attention, on est jamais à l’abri d’un retour de bâton émotionnel.
Une question reste posée : pourquoi du chocolat aux noisettes ? (plusieurs interprétations sont possibles, je pense)
comme je te comprends...
RépondreSupprimermais certains sont marié avec leurs liberté et leur amis uniquement
Ah. Que toutes choses sont merveilleusement dites. Je ne sais pas qui n'aurait pas envie d'apprendre à faire des bébés avec toi. Bonne chance TM, prend bien soin de toi.
RépondreSupprimermoi je suis libre...
RépondreSupprimerCe que je lis me laisse perplexe. Je ne donne pas dans la psychologie (même à 2 balles) et je n'ai pas la science infuse... pourtant j'ai un drôle de sentiment à la lecture de ton billet. Le sentiment que tu n'es pas prêt à vivre une relation amoureuse. J'ai conscience de n'avoir aucune légitimité à donner mon avis, mais le fait que tu écrives tout ça ici sous entend que tu attends les avis des autres, n'est-ce pas ? Cet étrange sentiment de soulagement que tu évoques alors que tu te prenais à "espèrer que ce soit le bon". J'avoue que je ne comprends pas. L'amour n'est pas une "torture de l'esprit" même si, comme tu le sais, ce n'est pas un long fleuve tranquille non plus !
RépondreSupprimerL'amour me fait peur, bien sûr, parce qu'il dépasse ma condition de "garçon qui gère" et je crois que je ne suis pas le seul dans ce cas. Encore une fois, ça n'est que mon avis et il n'a que valeur de commentaire...
Je t'envie, mais je suis surtout très contente pour toi.
RépondreSupprimer"faire des bébés" !! Mais qui va les élever?? d'abord on ne sait pas qui sera le "papa-porteur"!! Tu vas te retrouver "père-célibataire".... Bon j'arrête de délirer, pour le reste je n'ai pas d'avis, c'est toi qui sait si tu es pret à ne profiter que des "bébés"!!;-)
RépondreSupprimerJe comprends pas, j'ai toujours pas reçu ses photos pour les mettre sur mon blog...
RépondreSupprimerEn attendant, je vais aller me chercher du chocolat !
J'avais peur au fur et à mesure que je lisais ton billet. il va coucher oui ou non? ouf c'est oui :-)
RépondreSupprimerBon je sais je suis moins romantique que toi
C'est l'insoutenable légèreté de l'être ;)
RépondreSupprimerA travers ton récit, je reconnais aussi différentes phases que j'ai traversées lors de la naissance d'attirances et de sentiments. Et encore une fois, j'aime le style. Je te souhaite beaucoup de bons moments avec cette nouvelle connaissance.
On ne se pose jamais trop de questions. Bon, parfois un peu trop peut-être, mais dans le fond, c'est sain. Parce qu'on est toujours en éveil. Et que tu as finis par trouver des réponses. Rassurantes, qui plus est.
RépondreSupprimerJe comprends parfaitement ton cheminement, les fantasmes qui naissent, l'imagination en roue libre... J'adore ces moments où l'esprit divague en faisant taire la raison.
Je suis content que cette histoire puisse se poursuivre entre vous. Il faut savoir cueillir les fruits quand ils sont à notre portée... et ne jamais se priver de chocolat aux noisettes (entières, c'est meilleur) ;-)
@ Pierre : Cela m'a beaucoup surpris en réalité, et même destabilisé un instant : je n'ai pas compris que j'ai pu réagir de la sorte. Mais on peut parler de la jurisprudence "Blanco" ou "Bac d'Eloka" si tu préfères ? A moins que tu n'aies un penchant pour la décision "Gaz de Bordeaux" ? ^^
RépondreSupprimer@ PascalR : Comment-ça ? Elwe ne te suffit plus ? ;-)
@ Gildan : "Ou bien" mon cher Gildan, "Ou bien" :-)
@ Pianiste : Je n'imaginais pas que ce billet pouvait paraître jouissif... Je savais pouvoir donner du plaisir avec mes doigts, mais pas de cette façon là :D
Le chocolat aux noisettes, je l'avais dit dans le billet "Mon Prince" : j'avais envie de croquant. Non, tu ne me feras pas dire autre chose !
@ Sylvain : Hélas oui. La liberté acte de couple est une chose que je conçoit même si j'ai du mal à la comprendre. C'en est une toute autre lorsqu'elle est prise unilatéralement aux dépens de l'autre. Cela ne semble pas être le cas ici.
@ Gouli : Ho j'en connais... mais je ne citerai pas de noms.
@ Ben : No pic no dial :-)
@ Ek91 : Je comprends ta perplexité, ma réaction m'a aussi fortement intrigué. Être prêt pour une relation ? Qui peut affirmer avec certitude qu'il l'est ? Et l'est-on jamais ? N'apprend-on pas plutôt à l'être avec elle ? Et ce n'est pas tant l'amour qui me torturait l'esprit que les quesstions que je me posais sur la possibilité d'un peut-être ainsi que les réelles intentions de ce garçon.
@ Anouchka : Merci !
@ Nigloo : Je crois hélas que nos tentatives resteront infructueuses... Bah c'est pas grave ^^
@ Loup : J'ai bien dit qu'elles "pourraient". Permets moi de me la jouer égoïste sur ce coup là :-)
@ Alain : Disons que tu as une vision beaucoup plus pragmatique des choses ^^
@ Endim : Heureux de voir que je ne suis pas seul. La phase où les sentiments s'exacerbent est vraiment délicieuse, lorsqu'elle n'est pas douloureuse.
@ Glimpse : Si si, je t'assure qu'on peut se poser trop de question. Tu demanderas à Loup ce qu'il en penses d'ailleurs :-)
On est d'accord pour le chocolat aux noisettes ^^
Et donc une des conclusions de ce billet est que tu gagnes un "fucking friend". Mais cela ne risque-t-il pas de faire naître à nouveau la confusion des sentiments? Sexer n'est jamais anodin.
RépondreSupprimerPar ailleurs, as-tu lu le livre de Stefan Zweig?
Je trouve qu'une telle situation n'est pas évident à gérer. Cela me rappelle une de mes histoire il y a longtemps avant de connaître mon Homme d'aujourd'hui... Presque le même scénarios... On a essayer de faire des bébés et je suis tombé raide dingue du type. je ne pouvais plus m'en passer alors que je savais que c'était sans issue ou une issue fatale. Beaucoup de tristesse. Je m'en suis relevé mais pas évident... surtout que c'était mon premier vrai amour.
RépondreSupprimerPrend bien soin de toi petit Tambour.
;-)
@ Bashô : J'ai quelques réguliers sous le coude. Les règles du jeu sont claires dès le départ et je crois que si je venais à ressentir le moindre soupçons d'attachement, je couperais immédiatement les ponts. Je crois... J'espère ne pas avoir à me poser la question.
RépondreSupprimerOui, j'ai lu le livre il y a quelques années, ainsi que les 2 autres fresques du triptyque (24 Heures de la vie d'une femme et Le Joueur d'échecs). Je le relis de temps en temps. Le titre du billet n'était pas anodin. D'ailleurs l'image est celle de la couverture de l'édition poche ;)
@ Fred : Même réponse qu'à Bashô. En outre j'ai déjà connu un premier vrai amour, puis ... heu... et c'est à peu près tout ! Je prends soin de moi, et j'ai de très bons amis qui veillent, discrètement mais efficacement. Advienne que pourra !
Tu t'es senti soulagé quand tu as vu qu'il était maqué, ça t'a ainsi empêcher de commencer à tomber vraiment amoureux de lui, parce que tomber amoureux c'est bien mais c'est aussi une souffrance quand tu sais pas si les sentiments sont réciproques
RépondreSupprimer@ Anthonygay : Exactement. J'ai été soulagé que le voile d'incertitude s'est levé sur les sentiments de ce garçon. C'est quelque chose qui me bouffe ça, l'incertitude. Tu as parfaitement compris et l'as dit mieux que moi.
RépondreSupprimerVoila un billet finalement des plus optimistes, même si les doutes ont pu nous assaillir au gré de la lecture! Les conclusions sont bonnes et je loue cette capacité incroyable de s'alléger l'âme et le coeur, quand, à votre place, jouant à Moaning Myrtle, je me serais enfermé dans une suite sans fin de palabres avec moi-même, aurais maudit le destin et me serais alourdit (davantage si encore possible) la poitrine!
RépondreSupprimerComme dirait Anne Sylvestre, je pense que toutes ces histoires que nous vivons "pourraient être belles si l'amour n'existait pas".