Lemmings donc, est un jeu de plateforme et de réflexion dont l'objectif est simple : conduire une horde de petits personnages bleus aux cheveux verts, les Lemmings, vers la sortie en leur faisant éviter tout un tas d'obstacles mortels. Pour y parvenir, chaque niveau permet d'assigner à un ou plusieurs Lemmings une fonction particulière, et une seule : s'arrêter et faire office de barrière, un parachute pour éviter le crash en tombant de trop haut, construire un escalier avec un nombre limité de marches, et bien entendu creuser. C'est d'ailleurs le nom du premier tableau : "Just dig".
Et comme les Lemmings sont bêtes et disciplinés, ils marchent à la queue-leu-leu droit devant eux sans prendre la moindre initiative. Du coup, si on ne leur fait pas faire la bonne action pile au bon moment, ils butent tous sur les mêmes obstacles et repartent donc tous en sens inverse, tombent tous dans le même trou si personne n'en bloque l'accès, et ainsi de suite. Un vrai casse-tête ! Sur les niveaux un peu complexes, c'est rapidement le bordel. Il n'était pas rare que l'on se retrouve avec des Lemmings disséminés dans tous le décors.
Les décors étaient d'ailleurs l'un des gros points forts de ce jeu. Chaque niveau était un petit bijou d'esthétique, très travaillé et très soigné pour l'époque. On en prenait plein les mirettes et encore aujourd'hui lorsque je refais tourner le jeu avec un émulateur, le plaisir demeure intact.
Et surtout, le jeu permettait quelque chose d'assez cruel mais de terriblement drôle : les faire exploser. Soit individuellement, soit tous à la fois. D'un clic, un petit compte à rebours s'affichait au dessus de leur tête . Au bout de cinq secondes le Lemmings s'arrête, met ses mains sur la tête et, pris de convulsions, explose en plein de petits morceaux juste après avoir crié un "Ho no !" d'une petite voix cartoonesque caractéristique.
C'était d'ailleurs parfois la seule façon de parvenir au bout du niveau : le suicide qui permettait accessoirement de creuser un trou. Ou un moyen de sauver l'honneur dans un moment de désespoir; juste avant de perdre totalement le contrôle d'une partie mal engagée.
Et j'avoue que j'ai parfois beaucoup, beaucoup ri en les condamnant avec un authentique plaisir sadique.
J'ai ressenti un peu la même chose vis à vis du Duncan quand il est entré dans ma vie. Je n'attendais plus le grand frisson de la passion, et autant dire que pendant les 6 premiers mois de la relation, je n'étais pas plus transporté que ça. C'était fort agréable d'avoir un mec, je ne pensais à rien d'autre quand j'étais avec lui, et on passait des moments délicieux.
RépondreSupprimerVoilà qui va faire 4 ans en février, mine de rien. Et chaque jour qui passe, l'amour est plus doux, plus fort, encore, que le précédent. La passion, je l'ai eu en d'autre temps. La j'ai la complicité, la confiance, et les projets communs. Et c'est bien plus reposant et apaisant au quotidien :)
Bref c'est tout le mal que je te souhaite :)
Shit je viens de poster sous le mauvais billet XD (ça c'était pour l'Inktober d'hier XD)
RépondreSupprimerConcernant Lemmings, OMG, le temps que j'ai pu passer sur Lemmings, Oh, no, More Lemmings et Lemmings, The Tribes !! (Sur Amiga, pour le premier, sur Snes pour le dernier !)